Le Gouvernement Secret
L’origine,
l’identité, et le but de MJ-12
écrit le 23 Mai 1989 & révisé le 21 Novembre 1990
"Les signes sont de plus en plus nombreux.
Les
lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.
Quelqu’un
vient de très loin et veut rencontrer
les
gens de la Terre.
Les
rendez-vous ont déjà eu lieu.
Mais
ceux qui ont vraiment vu se sont tus".
Pape Jean XXII, 1935
NDONCT :
Ce
document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par l’américain Milton William
Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux
U.S.A. :
Light Tecnology
Publishing
Voici une
présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son livre, et agrémentée
des commentaires du traducteur :
Milton
William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après
avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans
la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord,
puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la
guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers
généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation au
Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une
pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité
administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux données
militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une
autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans
l’équipe de briefing des services de renseignement. C’est là qu’il a appris les
informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à
l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus
importants. Il lui a été plus tard donné une autre autorisation d’accès à la
cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du centre
de commande, en tant qu’opérateur SPECAT. C’est le
jour où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait
participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée
définitivement.
Après avoir essayé de communiquer les
informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du
gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un
reporter en 1972, il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi
à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a
réussi à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été
accidenté par la même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe
gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui
déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit
qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il
a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme
responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu
un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un
document découvert par Moore, Shandera et Friedman,
qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper
a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un
faux désignant une opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine,
qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman
étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité,
il a rédigé ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a
expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de
27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).
Depuis, Mr Cooper a pu constater
qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus,
des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses
employeurs. C’est pourquoi Mr Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il
aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à
nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres
ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.
Aux U.S.A., ces informations ont été
l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et d’articles
dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les
américains qu’il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques
aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de "fiction" qui
nous viennent des U.S.A.
Début du document :
Le
gouvernement secret
Au cours des années qui suivirent la
Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis fut confronté à une
série d'événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir
et, avec lui, celui de l'humanité entière. Ces événements étaient si
invraisemblables qu'ils défiaient toute crédibilité. Le président Truman et son
cabinet furent si stupéfiés qu'ils se trouvèrent virtuellement impuissants à
leur faire face, alors que le pays venait tout juste de traverser la guerre la
plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'Histoire.
Les Etats-Unis avaient gagné la
course à l'armement nucléaire. Depuis qu'elle avait mis au point et même
utilisé la bombe atomique, cette nation se retrouvait la seule au monde à
posséder une arme dont la puissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et
la planète elle-même. C'était une époque de grande prospérité pour les
Américains. Leur avance technologique et leur économie florissante leur offrait un enviable standing de vie. Ils exerçaient une
influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus
puissante de l'Histoire. On peut donc aisément imaginer la consternation et
l'inquiétude de l'élite gouvernementale quand celle-ci fut informée de
l'écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d'un astronef piloté par des
êtres à l'apparence d'insectes et de provenance absolument inconnue.
De janvier 1947 à décembre 1952, pas
moins de 16 astronefs s'écrasèrent ou furent descendus, sans compter celui qui
avait explosé dans les airs et dont rien n'avait pu être récupéré. On en retira
65 corps et un être vivant. Hormis l'appareil qui s'était désintégré dans
l'atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur le territoire
américain, dont l'un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L'un des trois autres écrasements eut lieu en
Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu'il
devint impossible de compter sur les services de renseignements existants pour
effectuer une enquête sérieuse des témoignages probants ou démentir les affabulation.
Un appareil fut découvert le 13
février 1948 sur une mésa près d'Aztec
au Nouveau-Mexique et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au
terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps
furent extraits des deux appareils. Mais l'élément le plus intrigant fut la
découverte, à l'intérieur des deux astronefs, d'une importante banque
d'organes, de toute évidence prélevés sur des êtres
humains. Un sentiment de paranoïa s'empara rapidement de tous ceux qui étaient
"dans le secret" quand ils comprirent qu'un démon venait de leur
dévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l'affaire fut classifiée "plus qu'ultra-secrète" et scellée dans un coffre de sûreté
fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s'était pas vu imposer un tel
silence pour sa sécurité. Ces événements allaient constituer par la suite le
secret le mieux gardé de toute l'Histoire de l'humanité.
En décembre 1947 fut mis sur pied le
projet SIGN [ NDT : Signe ],
lequel réunissait les hommes de sciences les plus éminents d'Amérique pour
étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il se métamorphosa
et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci fut bientôt créée
sous le nom de BLUE BOCK [ NDT
: Livre Bleu ]dans le but de diffuser des informations anodines et surtout
biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent
formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant
morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [ NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.
Durant ces premières années, l'Armée
de l'air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur le secret
de cette affaire. En fait, la CIA avait d'abord été créée par décret
présidentiel en tant que "Groupe central de renseignements" pour
s'occuper expressément du problème de la présence extranéenne.
Par la suite, l'Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au
titre d'"Agence centrale de renseignements".
Le "Conseil de sécurité
nationale" fut établi pour superviser les organes de renseignements et
spécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne.
Une série d'ordres et de mémos émanant de ce Conseil libéra peu à peu la CIA
des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par
"légaliser" son action directe dans les affaires intérieures et
extérieures sous le couvert d'activités quelconques.
Le 9 décembre 1947, à la demande
pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu'à celle de Kennan,
directeur du personnel des politiques de planification au Département d'État,
le président Truman approuva le rapport NSC 4
concernant la "coordination des mesures d'information sur les services de
renseignements étrangers". A la page 49 du livre 1 du "Rapport final
de la Commission d'enquête sur les opérations gouvernementales reliées aux
activités de renseignements " - Sénat américain, 94e conférence, 2e
session, rapport No 94755, 26 avril 1976 - le service des renseignements
étrangers et militaires cite: "Cette directive a donné au secrétaire
d'Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à
combattre le communisme ".
NSC 4A - une annexe ultra-secrète
de NSC 4 - chargeait le directeur de la CIA
d’entreprendre des opérations de couverture psychologique afin de poursuivre
les buts avancés par NSC 4, mais cette demande
initiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la coordination ou à
l'approbation de ces opérations. L'annexe ne faisait qu'indiquer au directeur
qu'il pouvait "entreprendre des actions indirectes s'il s'assurait, en
liaison avec l'État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux
politiques américaines. "
NSC 4 et NSC
4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilités de couverture encore
plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des
politiques (OPC). Ces deux articles allaient jusqu'à
valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pour autant
que les responsables de la sécurité nationale en conviennent. La réaction ne se
fit pas attendre. Aux yeux du personnel des renseignements, "tous les
coups étaient bons". NSC 10/1 permit la création
d'un comité exécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les
propositions des projets secrets mais n'ayant pas mandat de les approuver. Ce
groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes. Les directives NSC
10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation
particulière du rôle des gouvernants. Elles semblaient sous entendre, en effet,
que ceux-ci préféraient n'être mis au courant de rien avant que les opérations
n'aient été accomplies avec succès.
Une zone tampon s'installa donc entre
le président et l'information. Si jamais des fuites venaient à divulguer le
véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par
sa méconnaissance des faits et se trouverait ainsi à l'abri de toute
accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir les présidents
successifs dans l'ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins, permit au gouvernement
secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu'ils
voulaient bien leur transmettre. NSC 10/2 établit un
comité d'étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en secret.
Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent
stipulées dans NSC 10/5, un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent
la venue en scène de MJ-12 quatre ans plus tard.
James Forrestal,
le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son
grand idéalisme et sa ferveur religieuse l'amenèrent à pencher en faveur d'une
diffusion publique de l'information. James Forrestal
était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu'il eut parlé du problème
extranéen aux leaders de l'Opposition et à ceux du
Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal
exprima à plusieurs personnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment
d'être surveillé. Il avait raison mais les autres ne connaissaient pas ces
faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On
prétendit plus tard qu'il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné
au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien que
l’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal
avait été interné pour être isolé et discrédité parce que l'on craignait qu'il
n'ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le
voir. Finalement, le 21 mai 1949, le frère de Forrestal
pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intention
d’enlever James de Bethesda le 22 mai. C'est
pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA se rendirent à sa
chambre au seizième étage, nouèrent le coin d'un drap autour de son cou, en
attachèrent l'autre bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap
se déchira et Forrestal plongea dans la mort,
devenant l'une des premières victimes de la conspiration du silence. Les
carnets secrets de James Forrestal ont été confisqués
par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années.
Sous la pression du public, les carnets ont été finalement réécrits et publiés
dans une version aseptisée. L’information des véritables carnets a été plus
tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée
sous la forme d’une fiction. Le nom de l’agent est Whitley
Strieber et le livre est Majestic.
Le passager qui a été trouvé errant
dans le désert et rescapé de l'écrasement d'un astronef à Roswell
en 1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d'après la
désignation proposée par le professeur Vannevar Bush
et signifiant "Entité Biologique Extra-terrestre". E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On
l'interrogea en vain pendant plus d'un an. Il préférât s'abstenir plutôt que de
donner une réponse concluante. Il ne commença à s'ouvrir qu'à partir de sa
deuxième année de captivité. L'information qu'il livra alors est pour le moins
saisissante. Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : Livre Jaune ].
Des photographies d’E.B.E. ont été prises que, parmi
d’autres, j’ai vu des années plus tard dans le projet Grudge.
Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à
établir un diagnostic puisque, d'une part, il ne possédait pas d'antécédents
sur lesquels se baser pour le traiter et que, d'autre part l'organisme d'E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par
photosynthèse, à la manière des plantes, à partir de la chlorophylle, et
rejetait aussi les déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour
étudier sa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des
entomologistes. On fit appel à un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza,
pour le soigner et l'aider à se rétablir. Le professeur Mendoza s’efforça
vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952,
quand il mourut. Le professeur Mendoza devint l'unique spécialiste en matière
de ce type de biologie extranéenne. Le film E.T. est l’histoire à peine voilée d’E.B.E. .
Les Etats-Unis avaient désespérément
tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses
congénères technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à
émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux. Ils ne reçurent
aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent ce projet,
nommé SIGMA.
Par un décret-loi secret du 4
novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de sécurité
nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier
de décoder le langage des aliénigènes en vue
d'établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s'inscrivait dans
la suite des précédents efforts. L'objectif second de la NSA
consistait à surveiller toute communication émise par n'importe quel appareil
et provenant de n'importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout
renseignement, tant humain qu'aliénigène, et de
préserver le secret de la présence extranéenne. Le
projet Sigma fut fructueux.
La NSA
maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d'autres
programmes spatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA
est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu'elle est sujette
aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence
n'est pas écrit dans le texte de l'une ou l'autre loi votée par le Congrès, la NSA n'est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplit beaucoup d'autres fonctions qui, en fait, la
situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSA se voit octroyer 75% des sommes allouées à l'ensemble
des services de renseignements. Un vieux dicton dit avec raison: "Où va
l'argent va le pouvoir". Le directeur de la Centrale de renseignements,
quant à lui, n'est plus aujourd'hui qu'un homme de paille maintenu en poste
pour berner la population. La fonction première de la NSA
vise encore les communications avec les aliénigènes,
mais elle s'est maintenant accrue de d'autres projets en liaison avec eux.
Le président Truman avait tenu nos
alliés - y compris l'Union soviétique - au courant des développements du
problème extranéen. Il avait agi ainsi de peur que
les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour
l'espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas
d'invasion planétaire, mais il s'avéra difficile de garder un projet
d'envergure internationale à l'abri de la curiosité normale des journalistes à
l'égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section
indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux.
Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint connue sous le nom
de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en
1952. Son nom vient de l’endroit du premier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting
public eu lieu en 1954. Ses membres ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à
Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont
transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant
absolument tout. Les Nations unies d'alors - comme de nos jours, d'ailleurs -
ne sont qu'une farce monumentale à l'échelle internationale.
En 1953, la Maison blanche accueillit
un nouveau président, un chef militaire entraîné au commandement des hommes
selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l'autorité, il préférait
gouverner en s'entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision
majeure que si ses conseillers étaient incapables d'en arriver à un consensus.
Sa méthode habituelle consistait à envisager d'abord toutes les alternatives en
lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire,
puis à trancher la question en approuvant l'une ou l'autre des multiples
propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son mot d'ordre se
résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient
à dire que "la fin justifie les moyens". Il passait le plus clair de
son temps sur les parcours de golf, ce qui n'a rien d'inusité pour un
ex-officier de carrière qui s'était élevé durant la dernière guerre au grade
ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président était le
généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight
David Eisenhower.
Au cours de l'année 1953 - sa
première en poste -, au moins une dizaine d'écrasements de disques furent
signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en
Louisiane, un au Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines
d'apparitions- Des trente aliénigènes qui furent
récupérés, quatre étaient encore en vie.
Eisenhower comprit qu'il lui faudrait
s'attaquer au problème extranéen et arriver à le
résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C'est pourquoi, au début de
1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et
collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d'ébaucher
la structure d'une section secrète qui aurait pour mission de superviser
l'ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen.
C'est ainsi que fut conçue l'idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus
tard.
C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de
Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à
convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis.
Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très
fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des
relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de
Rockefeller pour s'occuper de la question extranéenne,
Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur capitale pour
l'avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.
Moins d'une semaine après son
élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d'un comité consultatif
présidentiel sur l'organisation du gouvernement. Ce dernier était donc
responsable de planifier la réorganisation de l’administration, chose dont il
rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent cumulés en un seul
portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de
l'Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le
Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire
d'Orveta Culp Hobby.
Ce fut au cours de cette même année
que des astronomes repérèrent dans l'espace des objets de grande dimension se
déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d'abord pris pour des
astéroïdes mais l'évidence s'imposa bientôt qu'il ne pouvait s'agir que de
vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les
communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put
décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux
vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite
géosynchrone à très haute altitude autour de l'équateur. Toutefois, les
responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon -
lequel avait mission d'établir des relations diplomatiques avec les étrangers
d'outre-espace -, mirent au point un système de
signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un
dialogue avec ces voyageurs de l'espace en provenance d'une autre planète. Leur
atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert.
Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent
réellement lieu. Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour
signer un traité.
Entre-temps, des extranéens
d'une autre race - d'apparence humaine, celle-là - atterrirent à la base
aérienne de Homestead en Floride et purent
communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce groupe nous mit
en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur.
Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d'aider l'humanité dans son
développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement
qu'il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre
refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l'immaturité morale
dont nous faisions manifestement preuve à l'égard des inventions que nous
possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les
fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi
incertain. D'un autre côté, leur décision avait été d'autant plus difficile à
prendre qu'ils ne pouvaient s'appuyer sur aucun précédent historique.
Un troisième atterrissage eu lieu en
1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne
d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à
y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes
s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails
seraient discutés lors d'une rencontre ultérieure. L'événement historique fut
soigneusement planifié et, Eisenhower s'arrangea pour être en vacances au même
moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez
le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un
rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les
batteries antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel
stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien
heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.
Le président Eisenhower a donc
rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un
traité formel entre la nation extranéenne et les
U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène
à avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant "Son
Altesse toute-puissante Krlll" (prononcer
Krill). Un titre aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des
Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui
substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en
anglais et signifiant "le tout-premier otage Krlll", car il était l’otage qui avait été laissé lors
du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président
Eisenhower eu une crise cardiaque.
Quatre autres personnes étaient
également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux
Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche
métaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme un
microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se
basant sur leur réaction, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis
au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.
Une lettre chargée d’émotion et
écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : "
Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le
rapport est vrai - terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en compagnie de
Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de
l’institut Brookings (ancien conseiller financier de
Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en
excuser). Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès
restreint (après environ six heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés
sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents
et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que
le monde touchait à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais
jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion et d’effondrement
aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait
vraiment pris fin avec une telle irrévocabilité qu’elle en était
indescriptible. L’existence de formes aériennes " autre-avions
" est maintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et
fait douloureusement partie de la conscience de chaque responsable scientifique
et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu cinq types
distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de
l’armée de l’air - avec l’assistance et la permission des " Ethériens " !
Je n’ai pas de mots pour exprimer mes
réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question d’histoire.
Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en
catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite à Palm
Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible
conflit entre les différentes " autorités " et qu’il ira directement
vers le peuple grâce à la radio et à la télévision - si l’impasse continue plus
longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au
pays est en cours de préparation pour être délivrée vers la mi-mai ".
Nous savons qu’une telle déclaration
n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné la partie. Nous
savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun
témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit étaient déjà en
possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light a mis le
mot " Ethériens " entre guillemets pour
attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été perçus comme
des dieux par lui.
Il est bon de préciser que l'emblème
de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne
trilatéral. C'est celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs
uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été
filmés et que ces films existent toujours.
Le président Eisenhower rencontra
donc personnellement les aliénigènes et un pacte
officiel fut signé par les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations
respectives. L'entente stipulait qu'aucune des deux parties ne devait
s'immiscer dans les affaires de l'autre. En échange de notre engagement à
préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la
technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science. Ils ne
signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base
périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des
raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à la condition
expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et soient ramenés à leur
point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus,
selon un calendrier fixe, les responsables extranéens
devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes
les personnes contactées ou kidnappées.
Il fut convenu que chacune des deux
races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l'autre nation
aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d'accord
pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d'études. Ainsi,
pendant que seize "stagiaires étrangers" feraient leur apprentissage
sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d'être
relayés par un nouveau groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution de
cet événement a été adapté dans le film rencontre du
3ème type, un " tuyau " qui s’explique par le fait que le professeur
J. Allen Hynek était le conseiller technique du film.
J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la
vérité à propos de la question extranéenne, intitulé
projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la
Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend
et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme
étant un homme de la CIA attaché au projet Grudge -
le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs
incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait
comme membre scientifique du très public projet Blue
Book. Le professeur Hynek est l’homme responsable de
l’abominable phrase : "C’était seulement du gaz des marais ".
On accepta aussi de construire, à
l'usage des aliénigènes, des bases souterraines dont
deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie.
Ces bases extranéennes seraient construites sur des
réserves indiennes aux quatre coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique
et de l'Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été
construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca. Je ne me
souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou
Yucca Proving Ground, mais
Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir
dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents
ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre
lieu dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en
faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour parler aux
résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré
d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.
Toutes ces zones sont entièrement
contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu. C'est en
effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces
installations à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence
au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont immédiatement démarré mais
n'ont progressé qu'au ralenti jusqu'à ce que d'importants subsides, en 1957,
viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW
BOCK.
Le projet REDLIGHT
[ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue
d'entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d'astronefs.
Des installations ultra-secrètes furent construites
au lac Groom, dans le Névada, à l'intérieur du rayon
d'action des tirs d'essai, dans une zone qui porte pour nom de code zone 51.
Nul n'est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit
"Q" de la Marine et un laissez-passer approuvé par l’administration
(présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque
pas d'ironie si l'on songe que même le président des Etats-Unis n'est pas autorisé
à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils se déroulaient à la
base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine dont le
nom de code était "The Dark
Side of the Moon" [
NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon la documentation que j’ai lue, au
moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à
plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de scientifiques et de
personnel de la CIA . En raison de la peur des
implants, seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des
relations avec les aliénigènes, et ce personnel était
et continue à être surveillé et contrôlé continuellement.
L'armée fut chargée de former une
organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine
sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne.
Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance nationale.
Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à
sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James " Bo " Gritz était un
commandant de la force Delta.
De façon à étouffer les soupçons que
les habitants de la région risqueraient d'avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à
réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés
conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l'avantage de discréditer, aux
yeux de la population, les témoins d'authentiques appareils extranéens
(O.V.N.I. pour le public, V.A.I.
pour ceux qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène
Identifié]). À cet égard, il s'avéra une véritable réussite puisque les
témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu'à ces toutes
dernières années.
Un fond secret de plusieurs millions
de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison
blanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément
enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à quel usage étaient
destinées ces mises de fonds, on répondit qu'elles serviraient à leur creuser
de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très
petite quantité était conçue à leur intention. Par contre, des millions de
dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les
redistribuait à des entrepreneurs pour l'excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes
que militaires, et les installations de la "Solution 2" à travers la
nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une
salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la moindre idée de
l'objectif réel de ce trésor.
C'est le président Eisenhower qui
obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant qu'il
fallait "aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le
président pourrait s'enfuir en cas d'attaque armée". Ces "refuges
présidentiels sécuritaires" consistent en de véritables cavernes creusées
à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont
équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais la majeure
partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont
aujourd'hui disséminées sous le territoire américain. D'autre part, la
Commission de l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins 22 autres
abris.
Leur emplacement et toute question
connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet
militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds
impartis à ce programme et en distribue les parts suivant un réseau si complexe
que même l'espion le plus habile ou le comptable le plus compétent ne sauraient
jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en
découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques individus placés au
départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à quel usage étaient consacrées
ces sommes. A la position de départ, il y avait le représentant du Texas George
Mahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense
à la Chambre, ainsi que le représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la
construction militaire à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent
entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du
Congrès et qu'on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de
ligne, on retrouvait le président, Majesty douze, le
chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à
Washington.
Les fonds étaient libérés par le
Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du programme de
construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas dépenser cet argent
puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C'est à la
Marine, en fait, que revenait l'autorisation de le gérer. Elle commençait par
le remettre à ses ingénieurs maritimes de la division de Chesapeake, qui n'en
connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait
pourtant le grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être, le
montant réel et la destination finale de ce fond ultra-secret.
C'était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake mais
qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En
vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre
d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus facile de
faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n'a été soumis à aucune vérification comptable
et ne le sera sans doute jamais.
De fortes sommes furent transférées
de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans
une localité appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut
Island. Or, cette "île aux Cacahuètes" est précisément adjacente à un
domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la
télévision il y a déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été
justement question d'un certain officier de la Garde côtière qui aurait remis
une mallette remplie d'argent, de la main à la main à la lisière des deux
propriétés, à un employé des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité versée aux
parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il que ces versements ont
continué sans interruption jusqu'à ce qu'ils cessent en 1967. Ils auraient
prétendument servi à des travaux d'embellissement et d'aménagement paysager,
mais le véritable usage de cet argent demeure encore inconnu, tout comme,
d'ailleurs, le montant des fonds transférés.
Entre-temps, Nelson Rockefeller fut
encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la
fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller,
ce titre fut changé en celui d'Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre
froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les
attributions qui étaient celles d'Henry Kissinger sous la présidence de Nixon.
Le rôle officiel de Rockefeller consistait à "fournir conseil et aide en
vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération
entre tous les peuples". Cette description de tâche n'était toutefois
qu'un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que
coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait
rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux
réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique
étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance
gouvernementale en matière d'élaboration des politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit
en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de
la coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de personnes
désignées selon les différents besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller,
ce comité ad hoc comptait à l'origine un représentant du ministère de la
Défense, un autre du Département d'Etat et le directeur de la Centrale de
renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le "Comité 5412" ou
le "Groupe spécial". Le décret NSC 5412/1
établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là,
le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur
exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l'approbation d'un
comité exécutif.
Déjà en 1954, par son décret-loi
secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad hoc
- qui allait être connu sous le nom de Majesty douze
- MJ-12 - et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités
secrètes ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour
détourner la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty douze était composé par Nelson
Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la
Centrale de renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E.
Wilson, secrétaire à la Défense, l'amiral Arthur W. Radford,
président du Comité interarmes des chefs d'état-major, J. Edgar Hoover,
directeur du FBI [ NDT : Bureau fédéral d'investigation], six membres clés du
comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés "les
Mages"., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur
Edward Teller [NDT: " Père " de la bombe H et directeur du
laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans
l’étude des radiations)].
Le groupe JASON est un groupe
scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations
étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui
étaient sensés avoir passé l’initiation des " Skull
and Bones " et "
Scroll and Key " du temps où ils fréquentaient
ces universités. Les " mages " sont des membres clés du Conseil des
relations étrangères et sont aussi membres d’un " Ordre secret de la Quête
" connu sous le nom de société JASON.
Majesty douze est composé de 19 membres. La
première règle de Majesty douze était qu’aucun ordre
ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote
majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité douze. Les
ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus
en tant que directives de Majorité douze.
Le groupe se composa donc, au fil des
années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du
Conseil des relations étrangères et s'accrut plus tard de membres de la
commission trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre
des "Mages" les plus important et les plus influents, on comptait
John McCloy, Robert Lovett,
Averell Harriman, Charles Bohlen,
George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques
allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est intéressant de
noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi membres
du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de l’un des
groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club
d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle par les Illuminati.
Des recherches approfondies
permettront bientôt de découvrir que tous les " mages " n’étaient pas
à Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du
Skull and Bones ou du Scroll and key durant leurs années à l’université. Vous pourrez
effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé The
Wise Men écrit par Isaac et Evan
Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous
l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la légende : "Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la
plage : son initiation au Skull and
Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ". J’ai découvert que les membres étaient
choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite
postuniversitaire et n’étaient pas exclusivement des membres de Harvard ou de
Yale. A cause de cela, une liste complète des membres du Skull
and Bones ne pourra jamais
être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel
Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones.
Maintenant vous savez pourquoi il a été impossible de répertorier les membres,
que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les
fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies furent
plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête, connue comme
Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères
et à l’époque étaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci
devrait vous donner une bonne idée de la sérieuse influence que peuvent avoir
les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encore très
bien de nos jours, mais elle compte aujourd'hui des membres de la Commission
trilatérale. Cette commission existait bien avant d'être rendue publique en
1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne extranéen
connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze
a aussi survécu jusqu'à aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette section
fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial. Sous
l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions
compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible dans un livre
intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre avait effectivement été
mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite
n'était qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler
l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le
comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant
toutes ces années, seule l'appellation de cette section a changé.
Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et
ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte,
à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement
d'animaux mais aussi d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux
doutes sur l'intégralité des listes que les aliénigènes
s'étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on
suspecta le fait que tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut
soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les aliénigènes,
et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont
déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à exercer un contrôle sur
les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la
sorcellerie, de la magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez
comprendre que ces déclarations pourraient aussi être une manipulation. En
guise de représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats
aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la
supériorité des extranéennes.
En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d'étude ayant pour tâche
d'"explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l'élaboration et à la
réalisation des politiques étrangères à l'ère nucléaire". C’était
seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la
question extranéenne. Par un autre décret-loi secret
- le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président
Eisenhower avait ordonné à ce groupe d'"examiner tous les faits, les
évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes
afin d'en dégager la vérité". Le NSC 5412/2
n'était qu'une façade devenue nécessaire pour dévier l'attention des
journalistes qui commençaient à s'enquérir du but de ces réunions où se
regroupaient tant de personnalités politiques aussi importantes. Les premières
rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d'étude réunissait 35
membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le
professeur Edward Teller fut invité à y participer. Durant les dix huit
premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président d'étude et fut
remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de
novembre 1955. Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les
sessions d'étude.
Les membres du groupe d’étude
Gordon
Dean, Président
Professeur Henry Kissinger, Directeur
d’étude
Professeur Zbigniew
Brzezinski, Directeur d’étude
Professeur
Edward Teller Frank Altschul
Maj.
Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong
Hanson
W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr.
Lloyd
V. Berkner Robert R. Bowie
Frank
C. Nash McGeorge Bundy
Paul
H. Nitze William A. M. Burden
Charles
P. Noyes John C. Campbell
Frank
Pace, Jr. Thomas K. Finletter
James
A. Perkins George S. Franklin, Jr.
Don
K. Price I.I. Rabi
David
Rockefeller Roswell L. Gilpatric
Oscar
M. Ruebhausen N.E. Halaby
Lt.
Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith
Caryl
P. Haskins Henry DeWolf Smyth
James
T. Hill, Jr. Shields Warren
Joseph
E. Johnson Carroll L. Wilson
Mervin J. Kelly Arnold Wolfers
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude devint connu
sous le nom de Quantico II.
Nelson Rockefeller s'était fait bâtir une retraite, quelque part dans le
Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité d’étude n'y soit pas importuné
par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de
campagne, de son nom de code "Country Club", en plus d'offrir le gîte
et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles de réunion et
d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est
pas le " Country Club ").
Le groupe d'étude fut
"publiquement" dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia,
l'année suivante, un compte rendu "officiel" des sessions sous le
titre "Armes nucléaires et Politiques étrangères", édité par Harper à
New-York pour le compte du Conseil des relations
étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé 80% à l'époque
où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses
réunions en secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont
révélateurs du caractère sérieux qu'il attachait à ces rencontres. Ceux-ci
relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la
nuit tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne,
comme s'il vivait dans un monde à part dont les autres étaient
inconditionnellement exclus.
Les révélations faites au cours des
sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et
leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il manifestât
subitement un tel revirement d'attitude, autrement inexplicable puisqu'il ne
sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce
peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui
arrivait souvent, en outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de
prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de vie
le conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux
du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la population
au courant de la présence extranéenne, car le groupe
estima qu'il en résulterait à coup sûr un effondrement de l'économie autant que
des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la
nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en
préserver le secret, et ce non seulement à l'égard du public en général mais
aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs que
dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait
déjà obtenu la garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le biais des
crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds confidentiels de la CIA
non affectés à son budget.
La décision du groupe d'étude
d'occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux
pour en extraire les sécrétions glandulaires et hormonales, les enzymes et le
sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les
aliénigènes expliquaient que ces actions étaient
nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure génétique s’était
détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient
que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur
race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont été
écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées
inutiles contre les aliénigènes, Majesty
douze jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations
diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous
serions technologiquement de taille à leur imposer le respect. En outre, il
vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à celles
d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris
un double programme d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans
l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité avec les aliénigènes.
Ces recherches constituèrent les
projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait
une arme capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire
éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif
émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu'il
pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens
et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté,
consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé
pouvant s'élever à près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre une cible
définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et
dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont
enfouies les bases extranéennes. Joshua fut développé
avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur,
pour sa part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans
précédent lui sont maintenant consacrés. On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de
commandements souterrains d’U.R.S.S. . Nous savons que
cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de
détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition
inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi nécessaires
pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la
population aux termes des traités négociés ou édictés. A partir des doutes
qu'avaient suscités les activités illicites des aliénigènes,
et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut
ordonnée à l'égard du secret qui entourait les événements survenus au début du
siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican et
obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette
prophétie affirmait que, si l'humanité ne se détournait pas du péché pour se
placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se détruire après avoir
provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des
Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré
Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant qui rallierait tous
les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait les fondements d'une
fausse religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les
intentions de cet homme et reconnaîtraient bientôt dans sa personne l'identité
de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient avec
l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci
utiliserait d'abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement un
holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à d'horribles
souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie
s'achève néanmoins sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ.
Lorsqu'on eut soumis ces prédictions
aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité.
Les aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé
l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée par le biais
de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme.
Ils expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et
que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de la
prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne, les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le
voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW,
ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer. Les aliénigènes
montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion
de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous
pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos
religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien avaient-ils
vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours
par le biais de nos croyances? D'autre part;serions-nous
réellement sur le point de vivre les événements de la fin des temps et du
retour du Christ qui sont annoncés dans l'Evangile? Nul n'en avait la moindre
idée.
En 1957 fut tenu un symposium
réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent
à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la
population et à cause de l'exploitation de l'environnement, notre planète ne
pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne.
Le président Eisenhower émit un
décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et de lui
soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion
des hommes de sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason
présenta trois solutions alternatives appelées solutions 1,2, et 3.
Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions
nucléaires, d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution
pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins
exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions,
c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances
inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages
supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement.
L’existence d’un trou dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la
solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une
conjecture.
Solution 2: Construire un vaste
réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les
cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour
perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle
serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces
installations ont été construites et sont prêtes et en attente des quelques
personnes à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie
planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre
d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des
colonies ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la
possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT :
appelés marchandise] aient déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en
qualité de main-d'oeuvre. La destination première est la Lune - de son nom de
code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en
ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases
lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans le but d'en retarder
l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des
naissances - incluant la stérilisation - et de propagation de microbes mortels
en vue de ralentir l'accroissement de la population. Le SIDA ne représente
qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que puisque la
population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de
la race humaine de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les
cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et les
homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la première
solution mais ont conjointement ordonné d'entreprendre la réalisation des
solutions 2 et 3 à peu près en même temps.
En 1959, la société commerciale Rand
organisa un symposium sur les "constructions souterraines à grande
profondeur". Le prospectus contenait des photographies et des descriptions
de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m
par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de gigantesques voûtes
souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et vraisemblablement
des villes. De toute évidence, l'industrie de la construction souterraine avait
accompli des progrès significatifs depuis ses débuts cinq ans auparavant.
Les dirigeants comprirent qu'un des
meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des
stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un précédent
historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient
et qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un solide
pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.
A cet effet, on approcha un jeune et
ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé George Bush, qui
était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata,
laquelle procédait à des expérimentations techniques en haute mer. Or, les
plates-formes de forage pourraient très bien servir, estimèrent-ils avec
raison, à opérer le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la
contrebande à bord de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du
Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne restait plus qu'à
l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de ravitaillement du
personnel régulier dont la cargaison n'est pas soumise à l'inspection des
douanes ni à la surveillance de la garde côtière.
George Bush accepta de collaborer à
l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu'il est
ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe
maintenant beaucoup d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales
dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de George Bush comme ayant
fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De nos
jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.
C'est le président Kennedy qui a
lancé le programme spatial "officiel" quand, dans son discours
inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune
avant la fin de la décennie. Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat
permit néanmoins aux responsables de couler des sommes gigantesques vers les
projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable
programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan
similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où
Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé
une base conjointe sur la Lune.
Le 22 mai 1962, une sonde spatiale
atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la vie. Il
n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie.
Je pense qu’il s'y trouve aujourd'hui des villes peuplées d'individus
spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de
toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les Etats-Unis ont,
durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant
antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des projets
de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus
grands alliés du monde.
Dans une certaine mesure, le
président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum
à Majesty douze, leur enjoignant de faire place
nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché
des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de
son intention de révéler l'existence des aliénigènes
à toute la nation l'année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de
divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du
Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je
n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau
international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de "Comité des
politiques". Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité
exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une
organisation homologue.
La décision du président Kennedy fit
l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt
décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents
postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des
services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est
pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le
conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins
oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont
très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais
tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même
sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien
d'étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n'ait abouti à aucun
résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des
membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien
réussi à obnubiler le peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé,
entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen,
ils ont connu la même fin tragique. A l’heure
actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans
l’assassinat sont mortes. La probabilité que toute ces
personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable de
la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans
les 2 ans suivant l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille
milliers de milliard. Vous pouvez commander une copie du film en envoyant $30+
$4 de frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington Beach, California 92648.
En décembre 1988 j’ai eu une
conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que j’avais
vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les
documents Top Secret disaient que l’acte était pleinement visible dans un film
pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer tirer sur JFK, il y a 16
ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué
et très plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : " Voudrais-tu le
voir ? ". Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par l’affirmative. Alors John nous
a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas.
Nous sommes restés 4 jours chez John . Non seulement
il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette
vidéo à chaque fois que j’ai parlé à un groupe de
personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait
obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai
plus tard découvert que l’auteur de cette version du film Zapruder
est Lars Hansson . John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il
dirigeait.
Peu après que Lear m’ai donné une
copie du film, Lars Hansson
m’a appelé et demandé si il pouvait faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et
lui ai demandé de m’apporter une meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il m’a aussi dit qu’il
m’apporterait un film à propos d’un homme appelé Bo Gritz, dont je n’avais jamais entendu parler. Mr Hansson m’a informé qu’il avait copié ce document en vidéo
pour Bo Gritz et John Lear
et que tous deux l’utilisaient dans leurs conférences. J’ai plus tard découvert
que Bo Gritz vendait la
bande à 10$ [ NDT : environ 50f ] la copie.
Lars vint chez moi, apporta les films sur
bande vidéo et nous avons discuté pendant une heure environ. Son objectif
principal était de me dire qu’il voulait que je montre le film aux gens mais
qu’il ne voulait pas que je le mette en relation avec le film de quelque
manière que ce soit. J’ai accepté de ne pas divulguer ma source et je me suis
tu. J’ai commencé à utiliser la bande lors de mes conférences. Quand j’ai
découvert que Bo Gritz la
faisait circuler librement, j’ai cédé à la pression du public et je l’ai aussi
fait librement circuler.
Plus tard, j’ai lu dans un des
journaux de Los Angeles (dont j’ai oublié le nom),
que Lars Hansson disait
qu’il ne savait pas que je possédais le film et qu’il ne savait pas que je le
diffusais lors de mes conférences. Hansson disait
dans cet article, qu’il était présent à ma grande conférence d’Hollywood, le 5
novembre 1989, et qu’il avait essayé de contester mes propos lors de cette conférence,
au moment de la partie question/réponse, mais qu’on ne lui avait accordé aucun
droit de parole. Nous avions enregistré l’événement sur bande vidéo et à la fin
j’ai demandé aux gens ayant des questions ou des commentaires d’aller vers le
micro que nous avions placé dans l’allée. J’ai bien examiné chaque recoin de
cet enregistrement et Lars Hansson
ne s’est jamais levé de son siège, ni même jamais redressé, ni essayé d’une
quelque autre manière de se manifester.
Lars m’a rappelé plus tard et m’a demandé
de ne plus utiliser sa voix sur la bande, sa voix qui disait sans hésitation et
sans réserve aucune, pendant qu’il narrait la bande vidéo, " le conducteur
de la voiture tourne avec son bras gauche au dessus de son épaule et fait feu
avec un pistolet. Vous voyez le 45 automatique, arme automatique plate
recouverte de nickel de calibre 45 qu’il tient dans sa main gauche. Il faisait
feu par dessus son épaule droite, vous le voyez clairement. Vous voyez sa tête
s’orienter à l’arrière vers le Président. Dans ce gros plan vous voyez que
l’impact le repousse violemment vers l’arrière contre le dos de son siège. Vous
voyez Mme Kennedy envahie par un sentiment de terreur ". Puis, plus loin
dans le film, Lars Hansson
dit : " vous pouvez clairement voir sa (au conducteur) tête tourner et son
bras, et l’arme qu’il tient au bout, viser par dessus son épaule droite ".
J’ai accepté de ne plus utiliser sa voix. Dans mes conférences suivantes, j’ai
montré l’enregistrement sans bande audio. Il s’est avéré que les gens le voyaient
beaucoup mieux sans narration.
Il est important que vous compreniez
bien ce qui précède, car vers la fin de l’été 1990, après que j’aie montré le
film pendant plus d’un an et demi, Lars Hansson a commencé à se montrer à la radio, proclamant que Greer, le conducteur, n’avait pas tiré sur le Président. Lars Hansson s’est montré à ma
conférence, en raillant de forte voix et en se faisant passer pour un âne.
Quand la conférence s’est terminée, il a abordé les gens dans la foule et, de
concert avec David Lifton, a essayé de les convaincre
qu’ils n’avaient pas vraiment vu Greer tirer sur
Kennedy. Pour leur déconfiture, la plupart des gens dirent à Hansson et Lifton " d’aller
se faire voir ailleurs ". Une fois que les gens l’on vu de leurs propres
yeux, ils ne peuvent plus être dupés. Hansson, Lifton, Grodin, et les autres
agents du gouvernement secret n’en ont plus pour longtemps. Les américains ont
compris l’arnaque. J’ai des frissons rien qu’à penser à ce qui arrivera à ces
gens lorsque les américains finiront par se mettre en colère. N’oubliez pas que
Lear m’a informé que sa source pour le film était un agent de la CIA qui
s’était révélé être plus tard, Lars Hansson.
Hansson a plus tard clamé que j’avais violé
son copyright. Il n’avait aucun copyright. Hansson
lui-même avait violé le copyright de quelqu’un en faisant cette vidéo et en la
donnant à Lear, Gritz et moi: je n’avais et n’ai
toujours aucune considération à propos du copyright de CE film en particulier.
Si je l’avais fait, personne ne saurait jamais qui a réellement tué notre
président.
Bo Gritz a
déclaré à la radio, qu’il avait exactement le même sentiment. Hansson n’a jamais attaqué Lear ou Gritz,
qui montrent toujours la bande, et Gritz continue à
la faire circuler. Je me demande pourquoi ? Est-ce que Lear, Hansson et Gritz travaillent
ensemble ?
Robert Grodin
est alors entré en scène. Il m’a publiquement mis au défi de débattre avec lui.
Il a proclamé avoir une copie du film Zapruder
montrant que Greer n’avait jamais enlevé ses mains du
volant de la voiture. Grodin est un agent actif du
gouvernement secret dont le travail est de noyer le public dans la confusion et
de perpétuer le nuage de brouillard.
J’ai appelé Bob Grodin
et accepté son défi. Je l’ai invité à se montrer avec moi en public au collège
de Beverly Hills et de
projeter son film. Il projetterait son film et l’audience déciderait. Il a
refusé. Il a refusé parce qu’il savait que je savais que l’audience le huerait.
Grodin sait que Greer a
tiré sur Kennedy parce qu’il fait partie du système de couverture de la vérité.
Bob Grodin
est ce même Bob Grodin qui prétend être le premier
expert indépendant en interprétation photographique. Bob Grodin
n’a AUCUNE éducation photographique quelle qu’elle soit. Il n’a jamais
travaillé dans la photographie. Bob Grodin n’a
jamais, de sa vie, été un interpréteur photographique. Il a menti au public à
propos de ses références pendant toutes ces années et personne ne les a même
jamais vérifiées, même le congrès lorsqu’il l’a engagé. Pensez-vous vraiment
que cela soit accidentel ? PAR CONTRE, J’AI UN
DIPLOME DE PHOTOGRAPHIE.
Bob Grodin
est ce même Bob Grodin qui a été engagé par le comité
sur les assassinats de House Select en 1976. C’est le même Bob Grodin qui a menti de manière flagrante au comité et lui a
dit que le conducteur, William Greer, n’a jamais
enlevé ses mains du volant. Son métier est d’écrire des livres et de vous
plonger dans la confusion. Son métier est de maintenir la position selon
laquelle le gouvernement a menti et qu’il y avait une conspiration. Son métier
est aussi de vous empêcher de connaître la vérité à propos de CELUI QUI a tué
le président. Vous ne pouvez pas accepter le Nouvel Ordre Mondial si vous avez
foi en votre gouvernement, et vous AUREZ confiance en votre gouvernement si
vous apprenez que Greer a tué Kennedy sur les ordres
des Illuminati et que cela n’a rien à voir avec le
gouvernement constitutionnel légal. Saviez-vous que l’homme qui était
responsable du service secret à l’époque de l’assassinat est devenu l’homme responsable
de la sécurité de la famille Rockefeller jusqu’à sa retraite ? Eh bien,
maintenant vous le savez. Vous devriez aussi savoir que Bob Grodin
est un ami de Leslie Watkins, et c’est le nom de Bob Grodin que Watkins utilise comme
pseudonyme de l’Astronaute cité dans Solution 3. Saviez-vous que lorsque Ricky White a fait son apparition dans les débats
radiophoniques à travers le pays pour dire que son père avait tué Kennedy, Bob Grodin l’accompagnait. Saviez-vous qu’à chaque fois qu’un
auditeur appelait Ricky White pour lui poser une
question, c’est Grodin qui répondait à sa place ?
Pensez-vous vraiment que cela soit une coïncidence ? Le père de Ricky White n’a pas tué Kennedy.
Pendant des années, j’ai parlé aux
gens et lors des audiences des divergences entre les rapports des docteurs de
Dallas et du rapport d’autopsie fait à l’hôpital de la Marine de Bethesda. J’ai montré que les blessures avaient été
falsifiées et modifiées. J’ai dit au monde entier que le corps avait été enlevé
de son cercueil à bord de l’avion et avait été enlevé hors du placard et dans
un hélicoptère de la marine, et qu’il était arrivé à l’hôpital de la marine de Bethesda une bonne trentaine de minutes avant le cercueil
officiel vide. J’ai constaté que le cerveau du président avait disparu et j’ai
expliqué pourquoi il avait disparu.
Très soudainement, David Lifton fit son apparition à la radio et à la télévision en
1990, en disant au monde qu’il avait de NOUVELLES preuves qu’il avait découverte lui-même. Sa nouvelle preuve était exactement
dans les moindres détails, ce que j’avais dit aux gens pendant des années.
C’était la même information que celle que j’avais donné à Bob Swan en 1972. Lifton était venu à ma conférence au collège de Beverly Hills. Après avoir fait
un scandale au bureau d’accueil parce qu’il fallait payer l’entrée, Lifton a abordé quiconque s’aventurerait dans le couloir,
et avec Lars Hansson, a
essayé de convaincre les gens qu’ils n’avaient pas vu Greer tirer sur Kennedy. Des personnes légitimes n’auraient
jamais agit d’une manière aussi disgracieuse et discréditante.
Mon témoignage et l’outrage du public après avoir vu le meurtre du président
Kennedy de ses propres yeux, a sérieusement endommagé
la couverture. Le comportement de Grodin, Lifton, et aussi Hansson en révèle
le degré de détérioration. Le public peut maintenant voir sans l’ombre d’un
doute que soit ils font partie de la couverture ou bien qu’ils sont des
chercheurs totalement incompétents, et dans le cas de Grodin,
un menteur éhonté qui pouvait avoir trahi.
Au milieu de tout ceci, le TV
magazine " Hard copy " m’a appelé et voulait voir le film. Je leur ai
montré le film et ils ont été choqués et passionnés et en voulaient
l’exclusivité. Je le leur ai donné mais je leur ai dit que je doutais fort que
cela soit jamais mis à l’antenne. Une date fut convenue pour la diffusion à
l’écran, mais juste avant que nous ne passions le film, un attaché exécutif de NBC a appelé les studios de " Hard copy " de Los Angeles et leur a dit de ne pas diffuser le film. J’ai
essayé de trouver le nom de cet attaché, mais je n’y suis pas arrivé. C’était
la fin de l’affaire. Le producteur qui avait essayé de porter mon histoire à
l’écran et le film sur Kennedy ne travaille plus chez " Hard copy ".
Son nom est Bubs Hopper.
Un autre producteur (dont je ne me
souviens plus le nom) de " inside Edition
", un autre TV magazine, m’a contacté, me disant que les américains
avaient besoin de voir le film. J’ai accepté d’aller au show mais je lui ai
répété la même chose, à savoir que je ne pensais pas que cela
soit jamais porté à l’écran. Une semaine plus tard, j’écoutais David Lifton à un show parlé radiodiffusé. Quelqu’un l’a appelé
et lui a demandé si il savait qui j’étais et David Lifton
a répondu : " Je sais qui il est et nous avons une surprise pour Mr
Cooper. Nous allons le démasquer pour de bon dans un show d’une télévision
nationale. Nous allons régler tous nos comptes avec cette personne ".
J’ai fait appeler le producteur par
quelqu’un pour annuler parce qu’il m’avait menti. Il a dit qu’il parlait en mon
nom. J’ai demandé à travers cet intermédiaire à n’apparaître que si je pouvais
avoir un contrôle éditorial, pour m’assurer qu’il ne ferait pas un montage de
morceaux pour ridiculiser le film. Il a refusé, et j’ai alors su que son intention
avait été dès le début de me discréditer. Quand le morceau a été diffusé, Lars Hansson a été convié comme
remplaçant, à ma place. Hansson, l’homme qui m’avait
attaqué, et affirmant que Greer n’avait pas tiré sur
Kennedy ! La raison en devenait évidente, puisqu’ils ont diffusé Bob Grodin à la séquence suivante. Grodin
a ridiculisé et déboulonné Hansson et le film. Ils
avaient eu l’intention de me hacher menu, mais lorsque j’ai annulé, ils ne
pouvaient plus attaquer le film qu’avec Hansson à ma
place. Cela avait tout à fait l’apparence d’une opération de service de
renseignement. Cela n’a pas marché.
J’ai découvert l’étape suivante
lorsque Grodin a dit à la radio, qu’il allait bientôt
(enfin) diffuser une vidéo de sa soi-disante
excellente copie du film Zapruder surexposé pour
mettre les détails en lumière. La surexposition mettrait complètement en
évidence le bras et l’arme de Greer, qui seraient tous deux en plein soleil, ce qui aurait pour effet
de les rendre tous deux invisibles. J’espère que les gens ne sont pas aussi
stupides que Grodin pense qu’ils le sont . Je discuterai avec quiconque et n’importe quand tant
que c’est en face d’une audience directe et que rien n’est passé au montage.
J’ai vu ce qu’un monteur de film peut faire pour faire paraître quelqu’un, dire
et faire ce qu’il n’a jamais dit ni fait.
Au début de l'ère spatiale et à
l'époque des expéditions lunaires, les satellites habités étaient toujours
escortés d'un astronef extranéen. Le 20 Novembre
1990, la chaîne de télévision n°2, a annoncé qu’un objet de forme ronde, de
couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis
accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission classifiée
militaire. C’était le première reconnaissance publique
de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo
ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Leurs photographies
officielles par la NASA nous révèlent des structures en forme de dômes, de
spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même
que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui traçaient sur la surface de
la Lune des marques semblables aux cicatrices que des points de suture laissent
sur la peau. On y voit aussi divers types d'astronefs, les uns absolument
gigantesques, d'autres beaucoup plus petits. Il s'agit de cette base américano-soviéto-aliénigène dont nous avons parlé. Le
programme spatial n'est donc qu'une blague excessivement coûteuse, et la
solution 3 n'est pas de la science-fiction.
Les astronautes des missions Apollo
l'ont appris à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été
sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite, sans
compter qu'ils ont dû se soumettre à la dure réalité de la conspiration du
silence quand on leur ordonna de taire ce qu'ils avaient vu, sans quoi ils
s'exposaient à "la procédure expéditive". Un des astronautes osa tout
de même collaborer avec les producteurs britanniques de chez TV expos de
l'émission "Solution 3" en corroborant plusieurs de leurs allégations
lors d’un documentaire non fictif diffusé dans un programme intitulé
" Rapport scientifique ".
Les auteurs du livre intitulé
Solution 003 parlent de cet astronaute en ayant soin de lui donner un
pseudonyme, celui de "Bob Grodin" (le
véritable Bob Grodin est un ami de Leslie Watkins et fait partie de la couverture de l’assassinat de
Kennedy). Ils relatent aussi que cet astronaute se serait suicidé en 1978. Or,
je n'ai trouvé aucune source pour confirmer cette information. Je suis porté à
croire que certains faits de ce livre sont de la véritable désinformation
, suite à des pressions exercées sur les auteurs en vue d'empêcher
l'impact qu'aurait pu susciter dans la population l'émission britannique. Les
quartiers généraux de la conspiration internationale, sont à Genève, en Suisse.
Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun,
et les 3 comités ensembles réunissent donc un total de 39 membres du comité
exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg.
Le plus important et puissant des 3 comités est le comité des politiques. (Il
est des plus intéressants de remarquer que les Etats-Unis avaient
originellement 13 colonies et que 39 délégués de ces colonies ont signé la
constitution après qu’elle ait été écrite et adoptée lors de la première
convention constitutionnelle. Pensez-vous que cela soit un hasard ?). Les
rencontres du comité des politiques ont lieu dans un sous-marin nucléaire sous
la calotte glaciaire polaire. Un sous-marin soviétique et un sous-marin
américain se rejoignent par un sas et la rencontre se déroule. Le secret est
tel que c’était le seul moyen qui pourrait permettre à ces rencontres de ne pas
être clandestinement surveillées.
Quoi qu'il en soit, à ma connaissance
et selon mes sources, le contenu de ce livre est fondé à 70%. Je pense que
cette désinformation était un essai pour discréditer la télévision britannique
TV expos avec de l’information qui pourrait être prouvée comme étant fausse,
tout comme on l'avait fait aux Etats-Unis quand Eisenhower avait émis tout un
"document de directives" pour mousser le plan d'urgence MAJESTIC-12,
alors que celui-ci n'était en définitive qu'un simulacre pour couvrir le vrai
MJ-12, et que là aussi la chose pouvait être prouvée comme étant fausse.
Depuis que nous avons commencé à
pactiser avec les aliénigènes gènes, nous avons
acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous
possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type
anti-gravité alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des
voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et
d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des
planètes Mars et Venus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons
aujourd’hui, à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où
se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les
saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune puisque la Lune ne nous
présente pas toujours exactement la même face, comme on le pense généralement
[NDT: c’est le mouvement de précession de la Lune, qui la fait légèrement
osciller sur elle-même, nous découvrant un peu plus des bords de sa face
visible]. Il y a aussi des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa
surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La
pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les
cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation
analogue à celle des plongeurs de profondeur. Cette pression est néanmoins
suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison
spatiale. Grâce au champ gravitationnel de la Lune, ils peuvent se maintenir à
sa surface, munis simplement d'une bouteille d'oxygène comme des
hommes-grenouilles.
J'ai personnellement des
photographies officielles de la NASA à ce sujet. Quelque unes sont publiées
dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien
Bases on the Moon et dans Someone
Else is on the Moon. En 1969, un confrontation eu lieu entre les
soviétiques et les américains sur la base lunaire. Les soviétiques ont essayé
de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et
le personnel en otage. Nous avons pu restaurer l’ordre après pas moins de 66
morts. Les soviétiques ont suspendu leur programme pendant une période de 2
ans. Il y eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à agir
ensemble.
Aujourd’hui l’alliance continue. Le
scénario de confrontation dans la base souterraine de la mésa
Archuleta est une pure désinformation élaborée pour
rendre la situation encore plus confuse. Je savais qu’une confrontation avait
eu lieu mais je ne m’en rappelais plus les détails. John Lear avait fini par me
convaincre que les aliénigènes et les forces delta
s’étaient battus à la base d’Archuleta.
(Le Nouvel Ordre Mondial doit avoir un ennemi provenant d’outre-espace).
Plus tard, j’ai pratiqué la régression hypnotique pour améliorer ma mémoire et
les véritables faits ont émergé. A ma connaissance, la seule hostilité qu’il y
ait eu entre aliénigènes et humain a été provoqué par les militaires américains lorsqu’ils ont
ordonné que l’on tire sur les O.V.N.I pour capturer
leur technologie.
John Lear dit aussi que nous avons
inventé le SIDA pour tuer les aliénigènes "
suceurs de sang " et que nous ne sommes que des containers pour âme. Ceci
est foutaise ! C’est clairement une prise de position pour la théorie selon
laquelle " les aliénigènes n’existent pas
".
Quand le scandale du Watergate éclata,
le président Nixon demeura confiant de s'en tirer sans accusation, car il ne
s'estimait coupable d'aucune malversation. Or, tel n'était pas le cas de Majesty douze. Dans les milieux du renseignement, on
conjectura avec raison que, s'il devait y avoir procès, les enquêteurs
commenceraient par fouiller dans leurs dossiers compromettants et finiraient
par en étaler les terribles secrets sur la place publique. Ils ordonnèrent donc
à Nixon de résigner son mandat. Son refus donna lieu au premier coup d'Etat à jamais avoir été mené par des militaires américains contre
leur propre président. L'état major de la Défense nationale émit un message ultra-secret à tous les officiers supérieurs des Forces
armées américaines dans le monde entier, disant ceci: "Dès réception du
présent message, vous ne devrez plus exécuter aucun ordre émanant de la Maison
blanche. Veuillez accuser réception.". Ce message a été transmis 5 bons
jours avant que Nixon ne cède et n’annonce publiquement sa résignation.
J'ai moi-même tenu en main ce message
et, quand j'ai demandé à mon commandant ce qu'il comptait faire, sachant très
bien que cet ordre violait la Constitution, il m'a répondu laconiquement:
" Je pense bien que le mieux à faire est d'attendre de voir si la Maison
blanche émettra des ordres, auquel cas j'aviserai". Je n'ai vu aucun
communiqué de la Maison blanche, mais cela ne signifie pas pour autant qu'elle
n'en ait pas envoyé. J’en ai eu confirmation par 3 autres sources, toutes
ex-militaires, qui ont écrit ou appelé pour déclarer qu’ils avaient vu
exactement le même ordre. Ces gens sont Randall Terpstra, ex de la Marine, David Race, ex de l’armée de
l’air ; et Donald Campbell, ex de la Marine. La transcription d’une
conversation téléphonique entre l’auteur et Mr Terpstra
est présentée à la fin de ce livret et les déclarations signées des autres
aussi.
On dirait que, durant toutes les
années où ces événements ont eu lieu, le Congrès et la nation américaine
savaient d'instinct que quelque chose ne tournait pas rond dans les affaires de
l'Etat. Aussi, quand le scandale du Watergate a fait irruption, tout le monde a
emboîté le pas au mouvement de nettoyage qui semblait s'annoncer à l'égard des
agences de renseignement. Le président Ford commanda une commission à
Rockefeller pour faire enquête sur les activités des agences de renseignements.
Voilà, du moins, ce à quoi les gens s'attendaient .
Son but véritable était de barrer la route au congrès et de garder les
activités bien cachées. Le président de cette commission était ce même Nelson
Rockefeller, membre du Conseil des relations étrangères, qui avait aidé
Eisenhower à répartir les pouvoirs de Majesty douze.
Il divulgua juste assez d'éléments pour garder la meute aux abois. Il lança
quelques os aux membres du Congrès en prenant soin d'éliminer les plus gênants
parmi ces derniers, et les conjurés en sortirent intacts comme ils l'avaient
toujours fait.
Plus tard, ce fut au tour du sénateur
Church de diriger les célèbres audiences qui portent son nom. Lui aussi membre
éminent du Conseil des relations étrangères, il ne fit que poursuivre la
tactique de Rockefeller au profit de la conspiration. Quand l’affaire des
contrebandiers de l’Iran a émergé, on crut bien, cette fois, que le chat
sortirait du sac. Hélas! on nous fit encore mordre la poussière. En dépit des
montagnes de documents qui dénonçaient le trafic des stupéfiants
et autres horreurs du même genre, les conspirateurs réussirent à se faufiler
allègrement. Comme mentionné auparavant, un des faits les plus sérieux qui ont
été découverts, est que le Nord préparait un plan pour suspendre la
constitution des U.S.A. . Quand le sénateur au congrès
Jack Brooks du Texas a essayé de sonder la situation, il a été ordonné au
silence par le président du Comité. Se pourrait-il que le congrès connaisse
toute la situation et ne veuille rien faire ? Sont-ils de ceux qui sont
sélectionnés pour aller dans la colonie sur Mars quand la Terre commencera sa
destruction, SI la Terre est en train de se détruire ?
La CIA, la NSA
et le Conseil des relations étrangères contrôlent des monopoles financiers qui
dépassent tout ce qu'on peut imaginer. Ils ont érigé leur empire à même les
cartels de la drogue et leurs entreprises de spéculation. Ils ont accumulé une
fortune démesurée à partir de leurs activités illicites, et ils profitent
maintenant, sous la protection même de la loi, de leurs placements dans
d'immenses réseaux de sociétés de gestion et d'institutions bancaires. Je ne
les connais évidemment pas toutes, mais j'aimerais attirer votre attention sur
l’entreprise bancaire J. Henry Schroder, la compagnie
Schroder Trust, la Schroders
Ltd. (à Londres), la société de gestion Helbert Wagg Ltd.,
la J. Henry Schroder Wagg
& Co. Ltd., la Schroder Gerbruder et compagnie
(en Allemagne), la Schroder Munchmeyer
Gengst et compagnie, la banque Castle
et ses compagnies de gestion, la banque de développement Asiatique, et les
pieuvres de compagnies de gestion et de compagnies bancaires de Nugan Hand.
Un plan d'urgence a été élaboré par Majesty douze à seule fin d'induire en erreur tous ceux qui
tentaient de cerner la vérité. C'est ce plan qui porte le nom de MAJESTIC TWELVE. Sa première
opération consista à mandater Moore, Shandera et
Friedman de divulguer le soi-disant authentique "document de
directives" d'Eisenhower! Mais ce document n'est qu'une fraude, et les
grossières bavures dont il est rempli ne font que nous le confirmer. Par
exemple, le décret présidentiel auquel il fait allusion porterait le numéro
092447. Or, ce numéro n'est pas près de figurer sur la véritable liste puisque
tous les décrets de l’administration sont numérotés à la suite, sans égard aux
divers présidents qui les promulguent. Ainsi, les décrets signés par Truman
figurent, pour la plupart, dans la série 9000, par Eisenhower dans la 10 000,
par Ford dans la 11 000 et, quant à Reagan, il n'a guère dépassé le numéro 12
000. Depuis des années, ce plan a vraiment réussi à leurrer les chercheurs en
les orientant sur de fausses pistes et à leur faire dépenser temps et argent à
prendre des vessies pour des lanternes.
Le Fond de recherche en ovniologie basé à Washington D.C. et dirigé par Bruce Maccabee a commis ce que je crois être une fraude
criminelle en relation avec le document de directives d’Eisenhower, Stanton Friedman, et l’équipe de recherche de Moore Shandera et Friedman. Maccabee a
sollicité des finances de la part du public, en promettant de les utiliser pour
enquêter sur les déclarations de Moore, Shandera et
Friedman et prouver que le " document de directive " d’Eisenhower est
vrai ou faux. Au lieu de cela, il a donné les 16000$ récoltés en entier à Stanton Friedman et lui a confié à LUI la tache de
confirmer ou d’infirmer ses propres dires. Quel travail difficile ! La
communauté ovniologique a senti l’arnaque et attendu
les découvertes de Stanton Friedman avec
empressement. Bien sûr, Friedman a trouvé que ces documents étaient
authentiques. C’est juste ce que les gens pensaient qu’il trouverait, non ? Il
lui a été donné 16000$ pour enquêter lui-même. C’est en dehors de toute
éthique. C’est là un clair conflit d’intérêt. Je pense sincèrement que cela a
été une fraude criminelle, parce que de l’argent a été mis en jeu. Ceux qui ont
donné leur argent en toute bonne foi devraient immédiatement engager des
poursuites contre Stanton Friedman, Bruce Maccabee, et le financement pour la recherche O.V.N.I. .
Cette farce a eu pour résultat le gaspillage total de 16000$. Plusieurs
centaines d’heures ont été gaspillées à poursuivre un fantôme. Croyez-moi, si
vous doutez de la capacité qu’a le gouvernement à vous
illusionner, vous feriez mieux d’y repenser.
Un autre plan d'urgence est
actuellement en cours, et c'est vous qui en êtes la cible. On vous prépare, en
effet, à une éventuelle confrontation avec les aliénigènes.
Cela pourrait aussi avoir pour but de vous faire croire en l’existence d’une
race extranéenne qui n’existe pas. On vous bombarde
de livres, de films, d'émissions qui vous dépeignent à peu près tous les
aspects de leur nature, bons ou mauvais, et la véritable raison pour laquelle
ils sont ici. Observez bien et vous allez remarquer de quelle manière votre
gouvernement vous y prépare peu à peu, de façon à éviter que vous ne soyez pris
de panique lorsque les aliénigènes se manifesteront
enfin au grand jour. Le nombre sans précédent d’observations d’O.V.N.I. à travers le monde indique que cette révélation
publique n’est pas trop loin. Jamais dans l’histoire il n’y a eu autant
d’incidents impliquant les O.V.N.I. et jamais dans
l’histoire il n’y a eu autant de reconnaissance publique de la chose. La population
fait aussi l'objet de nombreuses autres manigances, beaucoup plus scandaleuses,
dont celle qui consiste, depuis des années, à importer des stupéfiants pour les
lui revendre au prix fort, et ce, surtout aux citoyens qui n'en ont pas les
moyens. Les programmes d'aide sociale ont été mis en place pour que, dans un
premier temps, le désoeuvrement crée chez une certaine catégorie d'individus
une totale dépendance vis-à-vis de l'Etat. Puis, dans un second temps, les
allocations leur sont peu à peu retirées de façon à donner naissance à une
classe criminelle, qui n'existait pas comme telle dans les années 50 et au
début des années 60.
Ce plan d'urgence encourage la
fabrication et l'importation d'armes automatiques pour que cette classe soit
portée à s'en servir, et tout cela dans le but de provoquer un sentiment
d'insécurité tel que les américains appuient volontiers les projets de loi qui
s'opposent au port d'arme à feu. Des spécialistes de la CIA ont recours à un
procédé qu'ils appellent ORION selon lequel ils administrent des stupéfiants à
un sujet affecté de troubles mentaux, puis lui suggèrent, sous hypnose,
l'obsession de tirer des coups de feu, par exemple dans une cour d'école bondée
d'étudiants. Ce plan contribue à faire avancer la cause des adversaires du port
d'arme, laquelle, au demeurant, enregistre actuellement certains progrès. Ce
plan est en très bon chemin et jusque là a parfaitement fonctionné. La classe
moyenne demande au gouvernement l’abolition du 2nd amendement [NDT: c’est, aux
U.S.A. , le droit qu’a chaque citoyen de posséder une
arme].
Remarque de l’auteur : j’ai trouvé que ces événements avaient effectivement eu
lieu dans tout le pays. Dans chaque cas pour lequel j’ai enquêté - l’incident à
l’école pour femme du Canada, l’incident du centre commercial au Canada, le Stockto, en Californie, où eu lieu un massacre, et le
meurtre du Rabbi Meir Kahane - les tueurs étaient
tous d’ex-patients mentalement dérangés ou étaient actuellement des patients
mentalement dérangés qui étaient TOUS SOUS TRAITEMENT DU MEDICAMENT PROZAC ! Ce médicament, lorsqu’il est pris à certaines
doses, accroît le taux de sérotonine du patient, engendrant une violence
extrême. Couplez avec cela une suggestion posthypnotique
ou un contrôle à travers un implant électronique dans le cerveau ou des
micro-ondes ou une intrusion E.L.F. et vous obtenez un meurtre de masse, se
terminant à chaque fois par le suicide du tireur fou. Exhumez les corps des
meurtriers et vérifiez si ils n’ont pas d’implants dans le cerveau. Je pense que
vous allez être surpris. A chaque fois, il a nous été refusé de connaître le
nom du médecin du meurtrier ou de son centre de traitement psychiatrique. Je
crois que nous serons capable d’établir des connections avec des ensembles de
service de renseignements et/ou des connections avec des expériences connues de
programmes d’expérimentation de contrôle de l’esprit de la CIA
, lorsque nous découvrirons à la fin qui sont vraiment ces docteurs de
la mort.
Ces gens vont prétexter de la vague de criminalité qui déferle sur le continent
pour convaincre la population que l'anarchie règne dans les grandes villes. Ils
nous harcèlent à ce sujet presque quotidiennement, le jour dans les journaux et
le soir à la télévision. Lorsque l'opinion publique sera complètement gagnée à
cette idée, ils vont annoncer qu'un groupe terroriste, armé d'un dispositif
nucléaire, s'est infiltré au pays avec l'intention de faire sauter l'une de ces
villes (ceci est en train de se mettre en place avec la crise du Moyent-Orient). Le gouvernement, envers et contre la
Constitution, en profitera alors pour imposer la loi martiale et s'emparer de
tous les dissidents, autrement dit les gêneurs, ainsi que de tous les individus
à qui les aliénigènes ont déjà greffé un implant. Ces
personnes seront ensuite internées dans des camps de concentration qui existent
déjà, lesquels occupent des terrains d'environ trois kilomètres carrés. Qui
sait si ces opprimés ne constituent pas le corps des réservistes [NDT:
marchandise] que les agresseurs destinent à l'esclavage dans leurs colonies
spatiales?
Après avoir saisi les médias
d'information et les banques de données informatiques, les gouvernants les
nationaliseront, et toute personne qui tentera de leur résister sera séquestrée
ou abattue. Le gouvernement et l'armée ont déjà procédé, en 1984, à des
manoeuvres de répétition enregistrées sous le nom de code REX-84, et celles-ci
ont parfaitement fonctionné. La prochaine fois, ce ne sera pas un exercice, et
le gouvernement secret, avec ou sans les aliénigènes,
prendra le pouvoir absolu. Dès lors, soyez prêts à renoncer à vos droits et
libertés et préparez-vous à vivre dans la servitude pendant le reste de vos
jours. Si ce n'est pas ce que vous souhaitez, il est grandement temps de vous
réveiller et de réagir.
Entre 1970 et 1973, il m'a été donné
de voir des documents confirmant que Phil Klass est
un agent de la CIA. En tant qu'expert en aéronautique, il avait pour fonction,
entre autres, de déboulonner tout ce qui se rapportait au phénomène ovni. Il
agissait à titre de personne-ressource auprès des chefs militaires, qui avaient
reçu la directive de recourir à Klass pour apprendre
à utiliser ses techniques de dénigrement dans les cas où la presse et le public
les interrogeraient sur le bien-fondé des phénomènes rapportés par des
contactés ou des témoins oculaires. Plusieurs personnes semblent aimer Klass. Elles l’encouragent et font grandement attention à
ce qu’il fait. Il est invité pour parler événements ovniologiques
et est cité dans les journaux, les livres et les revues comme étant l’expert de
" ce qui s’est réellement passé ".
Philip Klass
n’agit pas au mieux de nos intérêts. Ses dénigrements et explications des
observations d’O.V.N.I. sont si parsemés de trous
qu’un enfant de 6 ans serait capable de discerner son véritable but. J’ai vu
des personnes énormément induites en erreur, rechercher un autographe de Klass, acte semblable en magnificence à celui qu’Elliot Ness ferait en demandant son autographe à Al Capone.
J’ai découvert que dans plusieurs circonstances les gouvernants secrets avaient
parfaitement raison lorsqu’ils disaient que " des gens qui n’utiliseraient
pas leur intelligence ne seraient pas meilleurs que des animaux qui n’ont pas
d’intelligence. De telles personnes sont des bêtes de somme ou des beefsteack par choix et par consentement " (citation
de " armes silencieuses pour des guerres sans bruit "). Nous
obtenons, dans certaines circonstances, exactement ce que nous méritons.
William Moore, Jaimie
Shandera et Stanton
Friedman, (sciemment, en toute connaissance de cause et avec consentement),
oeuvrent tous trois pour le compte du gouvernement secret. William Moore a été
vu utilisant une carte d’identité du service d’investigation pour la défense et
de sa propre confession à Lee Graham, il a confirmé être un agent du
gouvernement (Lee Graham m’a téléphoné chez moi, et quand je le lui ai demandé,
m’a confirmé que Moore lui avait vraiment montré une carte d’identité du
Service d’investigation pour la défense). Une confession ultérieure de Moore le
prouve à nouveau sans aucun doute.
Remarque de l’auteur : Le 1er Juillet 1989, la nuit précédent celle où j’ai
présenté ce document au symposium du M.U.F.O.N. à Las
Vegas, William Moore a admis qu’il était un agent du
gouvernement, qu’il avait livré de la désinformation aux chercheurs, qu’il
avait falsifié des documents, qu’il avait espionné les chercheurs et rapporté
les informations recueillies sur ces chercheurs à la communauté des agences de
renseignement, qu’il avait pris part à une opération de contre-espionnage
contre Paul Bennewicz qui s’était conclue par
l’internement de ce dernier dans un institut psychiatrique, et qu’il avait fait
tout ceci en pleine connaissance de cause. Il est soit un traître, soit un des
plus grands manipulateurs au cœur de pierre.
Quelques uns des auto- proclamés " ovniologues
" estiment encore Moore et citent encore ses recherches dans leurs
correspondances, leurs revues, et leurs livres. Ceci reflète un certain degré
d’ignorance et de stupidité dans la communauté O.V.N.I. . Bruce Maccabee a écrit une lettre au Caveat
Emptor, citant des articles de la publication de
William Moore, Focus, comme preuve que je suis
discrédité. Tout cela n’est que rêve. Il n’y a aucun mystère pour moi à la
raison pour laquelle l’Amérique traditionnelle appelle les ovniologues
des imbéciles et des foldingues : c’est que dans certains cas ils le sont.
Jaimie Shandera
est l’homme responsable de la perte de mon emploi de Directeur exécutif du
Collège Technique National. Peu après que mon poste ait été publiquement connu,
Shandera est arrivé au Collège, portant un complet
marron et un porte-documents. Il a ignoré la tentative de la réceptionniste
pour l’aider. Elle m’a informée qu’un homme avait traversé le collège et
semblait inspecter le bâtiment et les salles de classe. J’ai trouvé Mr Shandera scrutant de son regard la classe en pleine
activité. Je lui ai demandé si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a
dit non et m’a ignoré. Je lui ai expliqué que j’étais le directeur exécutif et
lui ai demandé à nouveau si je pouvais l’aider en quoi que ce soit. Il m’a à
nouveau répondu non, mais m’a jeté des regards noirs et semblait sur ses
gardes. Il semblait être extrêmement nerveux et a immédiatement quitté le
bâtiment. Je l’ai suivi jusqu'à la porte à l’extérieur, et un homme traversant
la rue a pris une photo de moi avec un appareil de 35 mm. Je regardais Jaimie Shandera marcher vers sa
voiture, et il m’a jeté un dernier regard puis est reparti en voiture. Quelques
jours après, il a répété son manège, mais cette fois il m’a dit qu’il avait vu
une petite annonce qui disait que le collège était à vendre et qu’il était venu
visiter la propriété. Je l’ai revu encore, sortant des bureaux du service
administratif. Quand il me vit, il devint à nouveau extrêmement nerveux et
s’est précipité dans sa voiture, a enlevé sa veste avant d’entrer dedans et
s’est en allé. Quelques minutes plus tard, j’ai été appelé au bureau du
président et là, on m’a dit que le collège ne pouvait employer quelqu’un qui
compromettrait son statut d’assisté par le gouvernement en étant impliqué dans
des affaires de soucoupes volantes. Je savais ce qui allait arriver et j’ai
présenté ma démission le 15 avril 1989. Je n’avais pas l’intention d’arrêter
mes activités et je ne voulais pas handicaper le collège ou les étudiants qui
dépendaient autant des programmes d’aide gouvernementaux. Pendant tout ce temps
là, Shandera a cru qu’il avait réussi son opération
de manière anonyme, mais moi et plusieurs autres avons toujours su que c’était
lui. Maintenant, vous le savez aussi.
Jaimie Shandera a
été formellement identifié par moi, le haut du Département de sécurité, et la
réceptionniste. Plus tard, j’en ai obtenu une autre identification formelle par
le Vice Président en charge des admissions. John Lear était à cette époque la
seule personne qui connaissait le nom et l’adresse du lieu de mon emploi. J’ai
plus tard découvert par analyse comparative des proportions du corps et par
analyse vocale graphique que John Lear est l’agent appelé " Condor "
de la production TV intitulée " UFO Cover-up live ", basée sur des données de la CIA .
Comme Condor, il est en réalité un agent du gouvernement qui a travaillé avec
Moore, Shandera, Friedman, John Grace,
Bob Lazar, et d’autres encore. Ils sont tous de la CIA .
Quant à Stanton
Friedman, il a raconté à plusieurs ainsi qu'à moi-même avoir participé, il y a
un certain nombre d'années, "au développement d'un réacteur nucléaire pas
plus gros qu'un ballon de basket-ball, destiné à propulser un avion et
fonctionnant à l'hydrogène, donc non polluant...et qui roulait comme un charme!
" ( Ce sont ses propres paroles). Plusieurs
autres personnes m’ont écrit pour me dire qu’il leur avait été dit la même
chose par Mr Friedman. Roger Scherrer est l’un de ceux à qui Stanton a raconté la même histoire. Cependant, le seul
carburant qui puisse libérer de l'hydrogène au cours de la réaction dont il est
question ici, c'est l'eau. Or, cette façon d'associer l'eau à la production
d'énergie nucléaire correspond exactement au mode de propulsion d'au moins un
type d'astronef aliénigène, selon la documentation
que j’ai lue lorsque j’appartenais aux services de renseignements de la Marine.
Stanton Friedman l'ignorait-il? Je n'en sais rien,
mais c'est tout de même étrange que ce soit l'équipe qu'il formait avec Moore
et Shandera qui ait été chargée d'exécuter le plan
d'urgence de Majestic 12!
Dans les documents que j'ai lus entre
1970 et 1973, il y avait une liste de noms correspondant aux personnalités les
mieux désignées pour le recrutement puisqu'elles étaient capables de
convaincre, en utilisant le patriotisme comme force de conviction aussi souvent
que possible. Si nécessaire, une assistante financière serait fournie grâce à
l’emploi d’une compagnie de propriétaire de couverture ou grâce à des bourses.
C’est, par coïncidence, la méthode par laquelle Friedman a obtenu ses 16000$
d’un autre agent, Bruce Maccabee. Nous avons aussi
découvert que Moore avait reçu de l’argent pour la recherche d’au moins 2 campagnies de couverture de la CIA Ceci a été confirmé par
la recherche de Grant Cameron. D’autres noms étaient cités sur les listes en
tant qu’agents clés actifs des services de renseignement. Lorsque j’ai pour la
première fois présenté ce document, je n’ai donné
qu’une liste partielle des personnes citées dans les documents des
renseignements de la Marine. Les personnes suivantes sont celles dont je peux
me souvenir les noms (il y en a beaucoup d’autres, mais celles là sont tout ce
dont je me souviens pour l’instant).
Stanton Friedman, de la CIA , John Lear , de
la CIA (le père de Lear a été cité comme ayant participé à la recherche sur l’antigravité) ; William Moore ; John Keel
; Charles Berlitz ; Bruce Maccabee,
de l’O.N.I. (bureau des renseignements de la marine)
; Linda Moulton Howe ; Philip Klass,
de la CIA ; James Mosely, de la CIA (le père de Mosely a été mis en question de manière très flatteuse) ;
Virgil Armstrong de la CIA (listé comme Posthethwaite)
; Wendelle Stevens, de la CIA , le professeur J.Allen Hyneck, de la CIA.
C’est là la liste dont je me
souviens. Il peut y en avoir d’autre, mais je ne m’en rappelle pas. Je connais
d’autres agents qui eux n’étaient pas sur la liste. Vous devez vous souvenir
que lorsque j’ai pour la première fois écrit ce document, j’avais pensé que Bruce
Maccabee ne devait pas avoir été recruté, mais plus
tard il m’a donné tort quand il a donné 16000$ à Stanton
Friedman pour enquêter lui-même.
Il y avait un code en 2 mots que ces
gens utilisaient pour s’identifier entre eux. Le premier mot était un oiseau et
le second mot était une couleur. Le code était " aigle or ". Quand Stanton Friedman m’a contacté la première fois, il a
utilisé le code. Je lui ai dit ne pas comprendre mais il m’a demandé plusieurs
fois si j’avais déjà vu ou entendu parler d’Aigle Or. John Lear m’a aussi
demandé si j’avais déjà entendu parler d’Aigle Or. Il me testait lui aussi. Ils
savaient que j’avais eu accès à la véritable information et ils essayaient de
déterminer si j’étais un des leurs. Comme George Bush dirait, " lisez sur
mes lèvres ". Je n’ai jamais été l’un des vôtres. Je ne serai jamais l’un
des vôtres.
Quand j’ai parlé à Stan Deyo en Australie par
téléphone, il m’a dit que le code qui lui était assigné était " Faucon
Bleu ". Stan était une victime d’expérimentation
sur le contrôle de l’esprit pendant qu’il était cadet à l’académie de l’armée
de l’air. Lui, et plus de 80 autres cadets sujets au contrôle de l’esprit ont
démissionné de l’académie en signe de protestation. Il est parti en croisade
pour découvrir la vérité quelle qu’elle soit. Stan a
écrit deux excellents livres, The Cosmic
Conspiracy, et The Vindicator Scrolls. Je vous
recommande de les lire tous les deux.
Je pense que Linda Moulton Howe pourrait être innocente de toute implication
volontaire. Linda en particulier semble avoir pris d’extrême
précautions dans ce qu’elle a présenté au public. Sa recherche est
excellente. J’ai été impressionné quand elle m’a confié que le Sergent Richard Doty de la division du contre-espionnage du bureau de
l’armée de l’air des investigations spéciales l’avait emmené au bureau de
renseignement à la base aérienne de Kirtland au
Nouveau Mexique et lui avait montré exactement les mêmes documents que ceux que
j’ai vu lorsque j’étais dans la Marine. Elle a même vu la même information sur
l’assassinat de Kennedy, nommant Greer comme étant
son assassin. Mme Howe est aussi la seule personne étrangère au monde de la
communauté des services de renseignement qui connaît la vérité telle que je
l’ai connue, au regard de l’opération MAJORITE. Elle a fait preuve de bon sens
et de grande retenue en ne révélant PAS les contenus de ces documents au
public. C’est pour cette raison que je crois que quelqu’un a essayé de
l’utiliser. Bien heureusement, Linda est loin d’être naïve et elle n’a pas joué
le jeu. Je vous recommande de lire son livre intitulé Alien
Harvest. Vous pouvez, je pense, le commander dans
n’importe quelle bonne librairie [NDT: aux Etats-Unis seulement, parce qu’en
France...].
J’ai découvert que Whitley Strieber est un homme de
la CIA , de même que Budd
Hopkins. Le livre de Strieber, Majestic,
l’en a rendu coupable pour ceux qui savent ce qui s’est vraiment passé. C’est
la véritable histoire du crash de Roswell, trouvé
dans les agendas mis sous séquestres de James Forrestal,
en se basant sur le fait que les documents que j’ai vu
à la Marine n’étaient pas des faux, et je ne pense pas qu’ils le soient. Les
noms des gens et les noms des projets et des opérations ont été changés dans le
livre de Strieber, mais tout le reste de l’information
et de la documentation est vraie. Les rapports
d’autopsie sont exactement les mêmes que ceux que j’ai vu dans le projet GRUDGE, il y a de cela 18 ans. Je suis récemment entré en
possession d’une déclaration par écrit et sous serment d’un MD
de New York qui est signée, authentifiée, et assermentée sous la peine encourue
quand on fait un faux témoignage, déclarant que ce MD
a été recruté par un agent de la CIA nommé Budd
Hopkins pour l’aider dans son travail avec les kidnappés, pour le compte de la
CIA. Cette déclaration écrite figure dans l’appendice de ce document. Je savais
que Hopkins avait quelque chose qui clochait quand je l’ai rencontré à Modesto. Il ne pouvait pas me regarder dans les yeux , et quiconque ne peut pas me regarder dans les yeux à
quelque chose à se reprocher. Il a passé tout le temps, en y incluant son
speech, à essayer de convaincre les gens de l’innocence de l’expérience d’être
kidnappé et de l’absence de mauvaises intentions des aliénigènes,
ce qui est un tissu de bêtise. C’était là une insulte pour quiconque ayant
enquêté sur les kidnappés.
Je sais que toutes les organisations
de recherche sur les O.V.N.I. ont été la cible
d’infiltration et de contrôle par le gouvernement secret, de la même manière
que le N.I.C.A.P. a été infiltré et contrôlé. En
fait, le N.I.C.A.P. , a fini par se détruire de l’intérieur. Je sais que ces
efforts ont été fructueux.
M.U.F.O.N. en est un merveilleux exemple. Des
centaines de membres tout autour du monde conduisent des enquêtes et envoient
des preuves physiques aux quartiers généraux du M.U.F.O.N. , où les preuves
disparaissent rapidement. Tout le monde clame les traces physiques comme
preuve. Récemment des échantillons de liquide ont été prélevés, échantillons
qui avaient suinté d’une soucoupe dans une cour d’école dans le golfe Breeze ,
en Floride. Les échantillons ont été envoyés au M.U.F.O.N. ,où ils ont
immédiatement disparus, ce qu’Andrus a déploré comme
étant un accident. BETISES ! Ce n’est pas la première fois que le M.U.F.O.N. a " perdu " une preuve. Je considère
que le M.U.F.O.N. est le grand trou noir de la
communauté O.V.N.I. . Le contrôle de l’information est si serré que rien n’en
échappe. Quiconque dit ce qu’il en est vraiment, est déboulonné et tenu à
l’écart des symposiums. On dit aux membres quoi croire et quoi ne pas croire.
Les membres ne semblent pas savoir qu’ils sont sous contrôle. Les membres du
bureau des directeurs du M.U.F.O.N. et les membres du
bureau de conseil des consultants sont pour la plupart soutenus par le
gouvernement sous la forme de salaires , de dons, de
chèques de retraites. Qui peut croire que cela ne constitue pas un conflit
d’intérêt ? Qui peut dévoiler et enquêter sur les mains qui le nourrit ? Comment pouvez-vous possiblement croire que le
gouvernement ne pourrait pas contrôler les gens à qui il fournit de l’argent ?
L’ARGENT EST LA METHODE FONDAMENTALE DE CONTROLE.
Les plus grandes publications O.V.N.I. sont sans aucun doute contrôlées et sont très
probablement, comme dans le cas de la revue O.V.N.I.,
financièrement soutenues et contrôlées par la CIA Vicki
Cooper (aucun rapport avec moi), l’éditeur et le propriétaire de O.V.N.I., a raconté à ses amis et ses proches que pendant
au moins deux ans, la CIA a fait pression sur son magazine. Ron
Rogehn et Lee Graham, se souviennent de l’été 1988 où
Vicki les a interviewé à la résidence de Mr Graham, à
Huntington Beach. Après que
l’interview se soit terminée, Vicki Cooper s’est
dirigée vers sa voiture, s’est retournée et a mystérieusement crié : "
vous savez, mon magasine pourrait être financé par la CIA ".
J’ai parlé à des amis et à des
connaissances de Mme Cooper qui m’ont juré qu’elle avait affirmé à plusieurs
reprises que " la CIA contrôle le magasine O.V.N.I.
". L’oncle de Vicki Cooper, Grant Cooper, était
l’avocat de Sirhan, qui n’a même pas essayé de
défendre son client. Il était important pour le gouvernement secret et la CIA
que Sirhan soit désigné comme étant " le seul
assassin ". Grant Cooper a des liens considérables avec la CIA et le
groupe de Johnny Rosselli.
Nous avons découvert que le fils de Vicki est allé à l’académie Militaire du West Point. Quel
superbe moyen de contrôler un magasine ! " si vous ne jouez pas le jeu,
vous n’aurez pas le diplôme ". J’ai découvert que la personne qui a trouvé
un appartement à Vicki Cooper lorsqu’elle est arrivée
à Los Angeles est Barry Taff,
un employé de longue date des services de renseignements (oui, au pluriel) et
protégé de longue date du professeur John Lilly et du
professeur J.West, le premier expert du gouvernement
dans la manipulation de l’esprit. Ces hommes ont été impliqué dans la plus
terrible expérimentation jamais mise en œuvre pour le contrôle total des
individus. Je pense que ce n’est pas une coïncidence innocente si l’appartement
de Taff est directement au dessus de celui de Vicki. Tout cela m’a été confirmé de manière indépendante
dans une lettre écrite par Mr Martin Cannon, un
chercheur de Los Angeles. La lettre peut être trouvée
dans l’appendice.
La preuve la plus accablante du
contrôle du magasine O.V.N.I. et de Vicki Cooper vient de Don Ecker.
A la conférence du M.U.F.O.N. de 1989, Don Ecker a fait preuve de si peu d’inhibition qu’il a pu
relater l’histoire suivante à moi et à deux autres.
Selon Don Ecker,
Vicki Cooper travaillait pour l’infâme Madame Mayflower. Les fédéraux essayaient d’attraper Madame et ont
trouvé Vicki. Mme Cooper a été arrêtée et menacée de
passer le reste de sa vie en prison si elle ne coopérait pas. Vicki s’est retournée selon Ecker,
et a donné son employeur. Depuis que Vicki avait
apparemment eu quelque chose à voir avec l’opération de comptabilité, elle est
devenue un témoin clé. La société Madame Mayflower a
été fermée et mise en prison grâce au témoignage de Mme Cooper. C’est selon Don
Ecker, ce qui s’est passé, si il a dit la vérité.
Nous n’avons aucune raison de croire qu’il mentait. Je ne sais pas pourquoi Don
Ecker nous l’a dit. Peut-être qu’il n’aime pas Vicki, ou peut être que lui aussi comme Lear et Friedman, a
cru que j’étais un des leurs (ce sera une journée très froide en enfer).
Selon Ecker,
il a été dit à Vicki Cooper de quitter la ville et
d’en rester dehors. Il lui a été donné de l’argent et il lui a été dit de créer
le magasine O.V.N.I. à Los
Angeles. Il lui a été dit qu’elle devait imprimer des informations qui lui
seraient fournies. Bien sûr, vous lisez dans O.V.N.I.
des informations sur les O.V.N.I. soi-disant
provenant de fuites du gouvernement, toujours écrites par quelqu’un qui ne peut
pas être contacté. C’est toujours écrit sous un pseudonyme et personne ne peut
vérifier l’information. Vicki est intransigeante sur
le choix des nouvelles et des informations à imprimer, en fonction de ce
qu’elle considère être le mieux pour ses lecteurs, comme si ils n’avaient pas
de cerveau pour y réfléchir par eux-mêmes. Elle s’adonne à la calomnie.
Don Ecker
clame avoir été un membre des renseignements militaires, les Bérets Verts, et
plus tard officier de police à Boise, dans l’Idaho. Don dit avoir eu un total
de 10 ans d’expérience en tant qu’enquêteur à la criminelle. Le département de
police de Boise a dénié, lorsqu’on le lui a demandé par téléphone, avoir eu
connaissance de Mr Ecker. J’ai demandé à Don de
fournir une copie de ses registres de service de l’armée, mais il a refusé. Ecker se donne lui-même le nom d’expert O.V.N.I.
et s’est affublé lui-même (oui, vous l’aviez deviné) du titre d’ "ovniologue ". Il soupoudre
ses articles de mots comme " ovniologique
", et ne sait pas le moins du monde ce que cela signifie. Il confirme la
plupart des informations que j’ai divulguées quand il parle à des groupes de
personnes. Il a fourni des bases de données avec une quantité monstrueuse de
fichiers qui confirment tout ce que j’ai pu dire. Ecker
les a probablement fabriqués lui-même, puisqu’ils sont tous anonymes. Il dit
que les aliénigènes mutilent les humains comme du
bétail. Don Ecker, de même que Vicki
Cooper, pratique la calomnie.
Selon des sources légitimes de
responsables policiers, Ecker ment au public. Il a
été gardien à la prison d’état de l’Idaho de Septembre 1981 à Septembre 1982,
quand il a quitté ce poste pour devenir un stagiaire adjoint au département des
narcotiques du Sheriff du comté de Canyon. Donald Francis Ecker
II a été licencié après seulement six semaines pour
" mauvaise conduite ". Mr Ecker est
retourné à la prison d’état de l’Idaho où il a été employé comme gardien
jusqu'à Juillet 1987, où il a perdu sa jambe gauche dans un accident de tir au
fusil pendant un exercice d’entraînement. Des sources révèlent aussi que Donald
Francis Ecker II est un
fugitif devant la justice. Les autorités de l’Idaho possèdent plusieurs mandats
d’arrêts concernant Mr Ecker.
Vous devez comprendre que le
gouvernement ne permettra à personne ou à aucun groupe de personnes de mettre
au grand jour le secret le plus hautement classifié au monde- si il peut l’en
empêcher. Il aura toujours à sa disposition des agents pour contrôler les
groupes, les publications, et les informations relatifs aux O.V.N.I. . Si les aliénigènes n’étaient pas réels et que toute l’histoire se
révélait être le plus grand canular ayant jamais été
monté, qui pensez-vous, au juste, aurait comploté tout cela ?
Si l’histoire cachée est vraie, tout
au long de l'Histoire, les aliénigènes n'ont cessé de
manipuler et de régenter l'humanité par le biais de diverses sociétés secrètes,
de l'occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de la religion. Le Conseil
des relations étrangères et la Commission trilatérale maîtrisent parfaitement
la technologie extranéenne et exercent un contrôle
absolu sur l'économie nationale. Eisenhower fut le dernier président à avoir
une vue d'ensemble du dossier extranéen. Tous les
présidents qui lui ont succédé n'en ont su que les seuls éléments que Majesty douze et les services de renseignements voulaient
bien leur laisser savoir et, croyez-moi, c'était loin d'être la vérité.
A la plupart des nouveaux présidents,
Majesty douze donnait des aliénigènes
l'image d'une civilisation perdue qui ne cherchait qu'à nous gratifier de dons
technologiques en gage de remerciement pour leur avoir permis d'installer leurs
quartiers sur notre planète et de renaître ainsi de leurs cendres. Dans
certains cas, le Président n’en a rien su. Les présidents ont gobé cette
histoire à tour de rôle ou n'ont tout simplement rien su. Et, depuis tout ce
temps, combien d'innocentes victimes ont à vivre les indicibles atrocités que
des aliénigènes et des hommes leur font subir à titre
d'expériences scientifiques dans leurs laboratoires souterrains? Je ne suis pas
arrivé à déterminer exactement ce qu’ils leur font. Plusieurs personnes sont
kidnappées et condamnées à vivre avec des dommages psychologiques et physiques
pour le reste de leur vie. Est-ce que cela pourrait être en fait une opération
de contrôle de l’esprit par la CIA?
Selon les documents que j'ai vus, un
citoyen sur quarante serait porteur d'un implant. Je n'ai toujours pas
découvert le but de ces minuscules appareils, mais le gouvernement semble
croire que les aliénigènes les utilisent pour se
"monter" une armée d'individus qui puisse être "mise en
marche" et se retourner contre nous au signal donné. Il est important que
vous sachiez qu'à l'heure actuelle nous sommes encore loin de pouvoir nous
mesurer aux aliénigènes.
Le 26 avril 1989, j'ai fait parvenir
au Sénat américain et à la Chambre des Représentants 536 exemplaires d'une
"pétition accusatoire" et, à cette date, le 23 Novembre 1990, j’ai
reçu 6 réponses, seulement 4 de plus qu’en mai 1989.
Les conclusions sont inévitables
1) Il y a des hommes qui ont
échafaudé une structure secrète pour étayer leur pouvoir en se basant sur la
croyance que la planète Terre, soit par suite de notre propre ignorance, soit
en vertu d'un décret divin, est appelée à se détruire un jour ou l'autre d'ici
peu. Ils croient sincèrement être en train de faire le bon geste pour tenter de
sauver l'humanité, mais il est cruellement ironique qu'ils se soient crus
obligés de s'allier à une race extranéenne dont la
condition était d'être elle-même engagée dans un combat désespéré pour assurer
sa propre survie. Cette entreprise conjointe a nécessité, tant moralement que
légalement, une foule de compromis dont on découvre aujourd'hui l'ineptie et
que l'on se doit de corriger en commençant par exiger des responsables qu'ils
nous rendent compte de leurs actions. Pour autant que je comprenne la crainte
et l'urgence qui ont pu motiver leur décision de ne pas en parler à la
population, je ne les en excuse pas davantage.
L'Histoire
est jalonnée de ces puissants groupuscules qui se sont toujours crus les seuls
capables de décider du sort de millions d'êtres alors qu'ils n'ont jamais fait
que provoquer des fléaux. Notre grande civilisation doit son existence même à
son respect des principes de la liberté et de la démocratie. Je suis convaincu,
au plus profond de moi-même, qu'aucune nation ne pourra jamais être prospère en
faisant fi de ces principes. Il est temps de tout révéler au public et d'unir
nos efforts pour sauver l'humanité toute entière.
2) Nous sommes actuellement manipulés
par les puissances extranéennes et les pouvoirs
humains qui se sont coalisés en un gouvernement mondial pour asservir à leurs
ambitions une partie de l'humanité. Ceci a été jugé nécessaire pour résoudre la
question primordiale : " qui parlera au nom de la planète Terre ? ".
Il a été décidé que l’homme n’est pas assez mature dans son développement
évolutionnaire pour être fiable dans sa manière d’agir correctement avec une
race extranéenne. Nous avons déjà assez de problème
entre les différentes races humaines, aussi que se passerait-il si une race
totalement étrangère extraterrestre était introduite ? Serait-elle lynchée, lui
cracherait-on au visage, ou lui tirerait-on dessus ? Est-ce que la
discrimination résulterait en des rencontres désagréables qui condamneraient
l’humanité comme conséquence de leur très évidente technologie supérieure ?
Est-ce que nos dirigeants ont décidé de nous isoler dans notre parc ? Le seul
moyen d’empêcher ce scénario d’avoir lieu est de provoquer un bond dans
l’évolution des consciences, un changement radical pour la race humaine toute
entière. Je n’ai aucune idée de la manière dont cela peut être fait, mais je
sais que cela a désespérément besoin d’être fait. Cela doit être fait très
rapidement et très silencieusement.
3) Les gouvernements officiels se
sont fait entièrement berner par les forces extranéenes
qui, quant à elles, n'ont d'autre intérêt que de nous réduire tous à
l'esclavage, quitte à anéantir la totalité de l'espèce humaine. Là encore, nous
devons tout faire en notre pouvoir pour empêcher cela d’arriver.
Si rien de ce qui précède n’est vrai,
il se produit toutefois actuellement des événements qui dépassent notre
entendement; mais, quoi qu'il en soit, notre première responsabilité est
d'exiger la vérité, car nous ne pouvons que nous blâmer nous-mêmes d'être sur
le point de récolter les fruits que nous avons produits par nos propres actions
et, surtout, par notre inaction depuis 44 ans. Puisque c’est de notre faute,
nous sommes les seuls à pouvoir changer les événements futurs. L’éducation me
semble la majeure partie de la solution. L’autre partie est l’abolition du
secret.
Il est toujours possible que j’ai été manipulé et que tout le scénario extranéen soit le plus grand canular de l’histoire dans le
but de créer un ennemi étranger provenant de l’espace extérieur, de manière à
accélérer la formation d’un gouvernement mondial. J’ai trouvé une preuve que
cela pourrait être vrai. Je l’ai incluse dans l’appendice. Je vous conseille de
considérer ce scénario comme probable.
Est-ce par indolence, ignorance ou naïveté que nous avons abdiqué notre plus
élémentaire devoir politique en cessant d'être vigilants à l'égard d'un
gouvernement qui se targue d'être fondé "sur le peuple, par le peuple et
pour le peuple" et dont la structure même avait été conçue pour éviter
qu'une poignée d'individus puisse aussi sournoisement décider de la destinée de
ce peuple? Si nous avions accompli notre devoir, ce genre de situation n'aurait
jamais pu survenir, mais la plupart d'entre nous ignorent jusqu'aux fonctions
les plus fondamentales de notre gouvernement. Nous sommes décidément devenus un
vrai troupeau de moutons, et à quoi sont finalement destinés des moutons sinon
qu'à l'abattoir? Il est temps de nous relever pour nous tenir debout comme nos
pères et marcher droit comme des êtres humains. Je vous rappellerai seulement
que les camps d'extermination nazis dépassaient aussi l'imagination et non
seulement celle des Juifs d'Europe mais celle de toutes les nations de ce
monde. Les Juifs captifs ont marché avec obéissance vers les chambres à gaz, et
pourtant ils avaient été mis en garde, eux aussi!
Vous devez comprendre que, réel ou non, la présence des aliénigènes
a été utilisée pour neutraliser certaines grandes différentes parties de la
population : "ne vous inquiétez pas, les généreux frères de l’espace vous sauveront
". Cela peut aussi être utilisé pour combler un manque de menace
extraterrestre pour justifier la formation d’un Nouvel Ordre Mondial :
"les aliénigènes sont parmi nous ".
L’information la plus importante dont vous aurez besoin pour déterminer vos
futures actions est que ce Nouvel Ordre Mondial exige la destruction de la
souveraineté des nations, ceci incluant les Etats-Unis. Le nouvel ordre mondial
ne peut pas et ne devra pas permettre à notre constitution de continuer à
exister. Le Nouvel Ordre Mondial sera un système socialiste totalitaire. Nous
serons des esclaves enchaînés à un système de contrôle économique sans argent
liquide.
Si la documentation que j’ai vue
lorsque j’étais dans les services de renseignement de la Marine est véridique,
alors ce que vous avez lu est probablement plus proche de la vérité que toute
autre chose écrite. Si, par contre c’est un canular, alors ce que vous avez lu
est exactement ce que les Illuminati veulent que vous
croyiez. Je peux vous assurer sans l’ombre d’un doute que même si les aliénigènes ne sont pas réels, la technologie, elle, EST
REELLE. Les vaisseaux à antigravité existent et des
pilotes humains les conduisent. Moi et des millions d’autres, nous les avons
vu. Ils sont en métal, ce sont des machines, ils ont différentes tailles et
formes et sont très évidemment guidés par une forme intelligente.
Si soudainement il y avait une menace
envers ce monde en provenance d’une espèce d’une autre planète, nous
oublierions tous ces petits conflits locaux qui ont lieu entre nos deux grands
pays et nous comprendrions une fois pour toute que nous sommes en fait tous des
êtres humains de cette Terre.
Ronald Reagan s’adressant à Mikhail Gorbachev
NDT :
A noter qu’un président des
Etats-Unis, Jimmy Carter, avait déclaré avant d’être élu président qu’il
essaierait de clarifier le phénomène OVNI, car il avait fait lui-même une
observation d’OVNI, observation qu’il avait
officiellement consignée par écrit à l’époque aux autorités. Mais une fois en
poste, il n’a jamais rien fait de la sorte.
D’après une remarque de Mr Cooper :
Lorsque le président Nixon a prononcé
son discours de départ, il a annoncé qu’il dirait au peuple américain la vérité
à propos des ONVI. Comme James Forrestal,
Richard Nixon s’est retrouvé prisonnier à l’hôpital de la Marine de Bethesda. Mais contrairement à Forrestal,
Nixon a survécu. Il est resté silencieux.
La totalité des éléments de l’appendice (ce sont des photocopies de documents
originaux comme des lettres, les registres de service de l’armée de Mr Cooper,
des articles de journaux et des documents secrets déclassifiés) sont
disponibles dans le livre dont est extrait ce document. Nous ne les
reproduirons pas ici par manque de place (l’appendice fait près de 150 pages).
*****************************************************************
Ci-joint un document écrit par Mr
Cooper non disponible dans son livre, mais publié conjointement à une
traduction de la version originale de 1989 de ce document, aux éditions Louise Courteau, dont le titre est : L’origine, l’identité, et le
but de MJ-12 et présenté par Richard Glenn. A noter que cette traduction a
servi de document de départ pour la traduction de la version révisée du livre
de Mr Cooper
J'ai récemment rencontré, par
l'intermédiaire d'un ami, quelqu'un dont le témoignage a corroboré certains
passages de mon dossier, intitulé MAJIC.TXT. Je suis
sûr que cela va vous intéresser. Vous allez sans doute remarquer, à certains
indices au cours de notre conversation, que j'ai essayé de vérifier si mon interlocuteur
était vraiment au courant des faits relatés dans mon document. Il faut vous
dire que je ne l'ai pas forcé à me révéler quoi que ce soit; je lui ai
simplement demandé de lire un exemplaire de mon document et de me rappeler s'il
le désirait. Je ne l'ai rencontré qu'à deux reprises, la première fois pour lui
être présenté, et la seconde pour entendre ses commentaires à la suite de sa
lecture.
Je prenais part à une réception
organisée par un ami de longue date à l'occasion de Noël quand, au cours de la
soirée, cet ami m'a pris à part pour me dire que l'un de ses invités aurait
sans doute quelque chose d'intéressant à me révéler relativement aux
informations que je venais tout juste de publier. Son intuition s'appuyait sur
le fait que cet homme avait servi dans les forces armées pendant 21 ans et
qu'il avait été assigné, entre autres, aux services de sécurité Delta. Cette
coïncidence ne pouvait certes pas manquer de piquer ma curiosité. Aussi ai-je
demandé à lui être présenté sur-le-champ.
Dés l'abord, j'ai été impressionné
par la vigueur de son physique grand, mince et droit, et la vivacité de son
esprit, alors qu'il était presque septuagénaire. Seuls ses cheveux gris
trahissaient son âge, mais il avait le maintien altier de celui qui est depuis
longtemps rompu à la discipline militaire.
J'ai entamé la conversation en lui
confiant que j'avais moi-même été longtemps engagé dans la Marine. Puis je lui
ai demandé où il avait été cantonné. Il m’a répondu avoir accompli la majeure
partie de son service dans le Colorado, le Nouveau-Mexique, le Névada et à la base aérienne d'Edwards en Floride. Je lui
ai alors fait part de mon étonnement de ce qu'il ait pu être affecté à une base
de l'armée de l'air, lui qui était de l'armée de terre. "C'est vrai,
m'a-t-il répliqué, mais je travaillais pour les services Delta, et nous
assurions la sécurité de plusieurs projets interarmes." Je lui ai ensuite
demandé s'il avait déjà entendu parler du projet REDLIGHT.
J'ai remarqué qu'il est aussitôt devenu mal à l'aise - Les yeux mi-clos, il a
jeté un coup d'oeil autour comme s'il cherchait un endroit plus discret.
"C'est possible, a-t-il repris, mais vous devez bien savoir, puisque vous
étiez dans la Marine, que je ne peux rien divulguer des opérations auxquelles
j'étais affecté." J'espérais le rassurer en lui expliquant que j'avais
sans doute exercé le même genre de fonctions, ayant moi-même travaillé aux
renseignements de la Marine pendant un certain temps. Mais, depuis que j'avais
mentionné le nom de Redlight, rien n'y faisait pour
arriver à dissiper son malaise.
Nous avons encore échangé quelques
paroles puis je me suis excusé pour aller rejoindre mon copain, à qui j'ai
demandé s'il pouvait me remettre son exemplaire de mon MAJIC.TXT.
Après s'être absenté quelques instants, il est revenu avec le document en main.
J'ai attendu que le vétéran de
l'armée prenne congé pour le suivre à son automobile. Je lui ai présenté le
document pour qu'il regarde le dessin que j'avais esquissé à l'endos. Malgré sa
hâte de quitter les lieux, il a néanmoins pris le temps, pendant que je
l'observais en silence, d'examiner cette reproduction de l'Insigne trilatéral.
Il m'a d'abord demandé où j'avais vu cet emblème et je lui ai répondu que je le
tenais des services de renseignements de la Marine. Puis c'est moi qui me suis
informé si lui-même le connaissait, ce à quoi il m'a dit l'avoir vu sur une
pièce d'équipement. "Savez-vous de quel type d'équipement il s'agit?"
m'a-t-il demandé. "D'un appareil qui ne fait pas de bruit", lui ai-je
dit. "Ainsi, a-t-il repris, vous savez exactement en quoi consiste le
projet Redlight!" J'en ai alors profité pour lui
expliquer que le document qu'il tenait dans les mains contenait justement toute
mon information à ce sujet et que j'aimerais bien qu'il le lise d'abord et me
donne ensuite rendez-vous pour me raconter sa propre expérience par rapport à
ce dossier. Je lui ai assuré que je ne révélais jamais l'identité de mes
sources, donc a fortiori la sienne. Il m'a alors regardé droit dans les yeux en
me prévenant que, si jamais je l'impliquais dans cette affaire en rapportant
notre conversation, il n'éprouverait aucun remords à me faire passer pour un
menteur devant tout le monde. Je comprenais parfaitement sa méfiance et, pour
lui garantir ma bonne foi, je lui ai conseillé de s'enquérir à mon sujet auprès
de notre ami commun, qu'il connaissait "depuis près de sept ans",
m'a-t-il dit. Il m'a salué et est parti en emportant mon document.
Il m'a téléphoné quelques jours plus
tard pour me donner rendez-vous en plein jour la veille de Noël. Nous avons
convenu de nous rencontrer à une table de pique-nique dans un parc.
La première chose qu'il a dite en me
voyant a été d'insister à nouveau pour que son nom ne soit jamais mêlé à ce que
je pourrais faire ou dire, et il a ajouté qu'il ne voulait jamais plus me
revoir après cette rencontre. J'ai accepté ses conditions et il m'a alors donné
son numéro de téléphone pour que je le prévienne si jamais je découvrais par la
suite que sa sécurité était compromise. Après avoir acquiescé à cette autre
requête, je lui ai demandé la raison pour laquelle il avait finalement accepté
de me parler de son rôle dans ce dossier. "Pour la même raison qui vous
pousse aussi à en parler, m'a-t-il rétorqué. Toute cette affaire prend une très
mauvaise tournure et cela ne présage rien de bon. " Je lui ai proposé de
me raconter ce qu'il savait, mais il préférait que je lui pose des questions.
Par ailleurs, il a refusé que j'enregistre ses réponses sur mon magnétophone,
de peur qu'on identifie sa voix. Je me suis soumis d'autant plus volontiers
qu'il avait tout à fait raison. Il a cependant consenti à me laisser prendre
des notes par écrit.
Voici donc la reconstitution
partielle de notre conversation, que je me suis empressé de rédiger aussitôt
arrivé chez moi. Etant donné que je ne connaissais pas cet homme, je n'ai aucun
point auquel me référer pour évaluer le bien-fondé de ses propos ou
l'authenticité de ses renseignements. Par contre, je le crois sincère, car il
lui aurait fallu être un acteur doué d'un talent vraiment exceptionnel pour
arriver à exprimer toute la gamme des émotions qui se sont dessinées sur son
visage au fur et à mesure de ses révélations.
Cooper:
Où aviez-vous vu l'Insigne trilatéral que je vous ai montré à la réception de
notre ami?
Le vétéran:
Sur une soucoupe volante que j'avais mission de surveiller à la base aérienne
d'Edwards. Je l'ai revu sur différentes soucoupes quand j'ai été affecté à la
zone 51 au Névada. Laissez-moi vous dire combien j'ai
été étonné par la précision et la quantité de vos informations à ce sujet.
Cooper:
La plupart d'entre elles découlent de documents dont j'ai personnellement pris
connaissance au début des années 70. Le reste m'a été transmis par des
informateurs. Le dossier que j'ai monté est le fruit de 17 années de recherche.
En outre, une bonne partie de ma documentation provient de rencontres comme
celle que nous tenons en ce moment. Pouvez-vous me relater les circonstances
dans lesquelles il vous a été donné de voir cette soucoupe à Edwards?
Le vétéran:
On m'avait assigné la garde d'un hangar dont je ne connaissais même pas le
contenu.
Cooper:
Quel était le nom de ce hangar'?
Le vétéran:
Il ne portait ni nom ni numéro. On l'appelait le hangar Delta.
Cooper:
Pouvez-vous me dire où il est situé sur la base?
Le vétéran:
Il est isolé sur la partie nord, complètement à l'écart, et personne ne peut y
avoir accès sans être muni d'un sauf-conduit et d'un insigne spécial.
Cooper:
À quoi ressemble cet insigne?
Le vétéran:
À celui que vous m'avez dessiné: un triangle noir sur fond rouge. À l'endos, il
porte une description du détenteur comme toute autre carte d'identité.
Cooper:
Comment êtes-vous arrivé à voir la soucoupe?
Le vétéran:
On ne peut pénétrer dans le hangar que par une seule porte, et celle-ci donne
directement sur le corps de garde. Au fond de cette salle, une autre porte
donne accès à un bureau qui lui-même commande le hangar proprement dit. Il nous
était strictement défendu de franchir le seuil du bureau mais, un soir,
l'officier en devoir m'a demandé si je savais sur quel objet je veillais. Je
lui ai répondu qu'il n'était pas dans mes attributions de le savoir. Il m'a
alors demandé si j'étais intéressé à le voir. Croyant qu'il cherchait
simplement à me mettre à l'épreuve, je lui ai répondu que ce n'était pas
nécessaire. Il m'a fait alors signe de le suivre et nous avons traversé le
bureau, puis il a déverrouillé la porte du hangar. C'est là que j'ai vu la
soucoupe, posée sur ses pieds mais appuyée aussi sur des vérins.
Cooper:
Vous employez le mot "soucoupe". Est-ce à dire que cet engin était
circulaire?
Le vétéran:
Oui, c'était exactement le genre de soucoupe volante qu'on est habitué à voir
au cinéma.
Cooper:
Pouvez-vous me la décrire?
Le vétéran:
Elle avait un diamètre de dix mètres environ et semblait faite d'un métal non
brillant, comme de l'argent terni.
Cooper:
Quelle hauteur avait-elle?
Le vétéran:
De cinq à six mètres environ. L'Insigne trilatéral y
apparaissait sur les deux faces, supérieure et inférieure.
Cooper:
Avez-vous remarqué des ouvertures?
Le vétéran:
Non, mais il faut dire que je n'en ai vu qu'un seul côté et à peine trois ou
quatre minutes.
Cooper:
Avez-vous aperçu des hublots?
Le vétéran:
Je crois qu'il y en avait tout autour de la partie supérieure, mais je ne
pouvais rien distinguer à l'intérieur.
Cooper:
Etaient-ils ronds?
Le vétéran:
Non, ils étaient rectangulaires. J'ai aussi remarqué deux rainures qui
faisaient le tour de la carlingue, l'une sur la face supérieure et l'autre sur
la face inférieure à un peu plus d'un mètre de l'intersection de ces deux
moitiés, et une partie de la face intérieure ressemblait à des grilles ou des
lucarnes.
Cooper:
L'officier vous a-t-il dit quelque chose?
Le vétéran:
Simplement qu'il ne m'avait pas tout montré, puis nous sommes retournés au
corps de garde et il est parti.
Cooper:
Etrange comportement, ne trouvez-vous pas?
Le vétéran:
Tout ce qui avait trait à Delta était étrange, tout ce que l'on voyait, tout ce
que l'on faisait... Par moments, j'ai vu des hommes éclater en larmes sans
raison apparente; et, quand un type avait le malheur de craquer, il
disparaissait à tout jamais.
Cooper:
Qu'advenait-il à ces hommes?
Le vétéran:
Je ne sais pas et je n'ai jamais cherché à le savoir.
Cooper:
Avez-vous objection à parler de vos autres expériences?
Le vétéran:
Non, pas du tout.
Cooper:
Comment êtes-vous entré à Delta?
Le vétéran:
J'avais d'abord été recruté dans l'Organisation de reconnaissance nationale et
envoyé à Fort Carson au Colorado. Puis, après un entraînement intensif, j'ai
été soumis à une sévère procédure de sélection imposée par les services de
sécurité Delta, à l'issue de laquelle ils m'ont enrôlé.
Cooper:
Sur quels critères se sont-ils basés pour vous choisir?
Le vétéran:
Premièrement, m'a-t-on dit, parce que j'étais orphelin. Imaginez un instant
qu'un homme soit victime d'un accident grave dans le cadre d'opérations
secrètes. S'il a de la famille, ses parents risquent de compromettre tout le
projet simplement en essayant de connaître les circonstances entourant la
disparition de leur cher fils.
Cooper:
Les membres des équipes Delta sont-ils tous orphelins?
Le vétéran:
D'une certaine manière puisque leurs parents sont tous disparus, décédés depuis
longtemps ou récemment, morts de maladie ou tués dans un accident.
Cooper:
N'étiez-vous pas un peu perplexe par rapport à ce critère? Autrement dit, vous
demandiez-vous en quoi pouvait consister ce secret qui semblait si important
qu'on doive y assigner des orphelins?
Le vétéran:
J'ai vu certaines choses... On racontait des histoires... au sujet de Dreamland surtout... Avez-vous entendu parler des chasseurs
de primes de Dreamland?
Cooper
Que voulez-vous dire?
Le vétéran:
Quand un homme est affecté à Dreamland, s'il sort en
permission ou en devoir et qu'il lui prend la fantaisie de ne pas rentrer à
temps ou de ne pas revenir du tout, alors sa tête est pour ainsi dire mise à
prix et les chasseurs de primes se lancent à sa recherche pour le ramener dans
les installations souterraines où vivent les visiteurs... Vous savez de qui je
veux parler, mais je crois que je ferais mieux de me taire. De toute façon, je
ne m'en souviens presque plus... et n'étions-nous pas censés nous entretenir de
Redlight?
Cooper:
Nous n'avions aucunement convenu de nous limiter à ce seul sujet. Est-ce une
nouvelle condition?
Le vétéran:
Oui, il vaut mieux parler d'autre chose. Je peux seulement vous dire qu'il se
passe des choses vraiment bizarres à Dreamland.
Cooper:
Que voulez-vous dire quand vous prétendez ne plus vous souvenir?
Le vétéran:
Je n'arrive plus à me rappeler... Je n'ai vraiment pas envie d'en parler, voilà
tout...
Cooper:
Non, s'il vous plaît, ne me faites pas ce coup-là. Allez! Vous m'en parlez ou
vous ne m'en parlez pas, mais cessez de jouer avec mes nerfs! Qu'avez-vous à
ajouter sur Dreamland? Pouvez-vous au moins me dire
où c'est situé?
Le vétéran:
Non, je cours un trop grand risque, c'est trop dangereux, et maintenant je suis
marié.
Cooper:
Très bien, alors parlez-moi de la zone 51.
Le vétéran:
C'est le quartier général de Redlight. Elle est
située au lac Groom dans le Névada Celui-ci est en
plein coeur d'un champ de manoeuvres que vous pouvez voir en consultant une
carte. Il s'agit d'un lac asséché sur le lit duquel on a érigé des
installations ultra-secrètes. On y pratique des vols
d'essai à bord de soucoupes volantes.
Cooper:
En avez-vous déjà vu quelques-unes voler?
Le vétéran:
Oui, elles sont parfaitement silencieuses et se déplacent à des vitesses
prodigieuses.
Cooper:
Est-ce le même type d'appareil qu'à Edwards?
Le vétéran:
L'un des deux que j'ai vus est semblable. Quant à l'autre, il ressemble à un
diamant qu'on aurait retourné à l'envers après l'avoir sorti du chaton d'une
bague de fiançailles.
Cooper:
Voulez-vous dire qu'il donne vraiment l'impression du diamant?
Le vétéran:
Pas tout à fait, mais la forme est semblable. De plus, en plein vol, il devient
brillant comme le soleil et parfois même iridescent. Par contre, au sol, il
présente la même apparence de métal terne que la soucoupe d'Edwards.
Cooper:
À quelle distance de l'appareil vous teniez-vous quand vous l'avez vu?
Le vétéran:
Assez loin puisque personne n'a le droit de s'en approcher, à cause des radiations,
sans doute.
Cooper:
Entendez-vous par là qu'il était propulsé à l'énergie nucléaire?
Le vétéran:
Je n'en suis pas certain, mais je suppose qu'il représentait un risque élevé de
radioactivité puisqu'il nous fallait toujours porter un dosimètre* sur nous et
aller l'échanger contre un autre tous les jours pour le faire vérifier.
Cooper:
Combien de temps êtes-vous resté à la zone 51?
Le vétéran:
Mon premier stage a duré trois mois. D'ailleurs, jamais personne n'y est
affecté plus longtemps que quelques mois. La seconde fois, j'y ai été consigné
près de cinq mois, comme en temps de guerre, sans permission de sortie; mais il
faut dire que ces quartiers sont pourvus d'excellents équipements récréatifs.
Cooper:
Je suis navré de vous talonner, mais j'aimerais vraiment en apprendre plus long
sur Dreamland parce que votre témoignage ne semble
pas concorder avec mes autres sources d'information. On m'a dit que la base extranéenne est située au Nouveau-Mexique. S'agirait-il de Dreamland?
Le vétéran:
Il y a plusieurs bases... Mais je dois maintenant partir. J'ai tort de vous
parler de tout cela; je ne devrais pas, c'est beaucoup trop dangereux, bien
plus que vous ne l'imaginez. Je ne suis pas au courant de tout mais je sais que
la situation est complètement désespérée. A vous dire vrai, je suis très
inquiet de ce que l'avenir nous réserve. Ne me demandez pas de vous expliquer,
je ne sais pas de quoi il s'agit; mais je suis certain qu'il se trame quelque
chose. On construit actuellement d'immenses abris souterrains sous le lac Groom
et ailleurs. De toute manière, à voir votre dossier, je crois que vous êtes
mieux documenté que moi à ce sujet. Maintenant, permettez que je m'en aille.
C'est la veille de Noël et je demeure assez loin.
Cooper:
Avant de partir, voudriez-vous jeter un coup d'oeil aux notes que je viens de
prendre et les rectifier s'il y a lieu?
Le vétéran:
Ce n'est pas la peine. J'ai observé pendant que vous écriviez, et vous n'avez
rien oublié. Mais puis-je vous demander ce que vous comptez faire de ces notes?
Cooper:
Je vais d'abord les compiler dans un dossier puis les publier sous la forme
d'un dialogue en prenant garde de ne pas vous identifier.
Le vétéran:
Si, de toute façon, vous le faisiez, je vous répète que je nierais tout et vous
accuserais de diffamation.
Cooper:
Soyez sans crainte, je n'ai jamais nommé mes informateurs. Si, un jour, vous
aviez l'intention de me révéler autre chose, vous avez mon numéro...
Le vétéran:
Je ne pense pas. Vous auriez intérêt à être très prudent. A votre place, je
ferais attention à moi et je ne rapporterais pas cette conversation. Vous
devriez y réfléchir.
Cooper :
Que pensez-vous qu'il puisse m'arriver'?
Le vétéran:
La même chose qu'aux autres... Vous devriez laisser tomber... Vous...
Personne n'y peut plus rien changer!
Le reste de notre conversation n'a consisté qu'en salutations d'usage. Cet
homme m'a paru vraiment sincère et profondément tourmenté par ce qu'il
racontait. En tout cas, il semblait se faire réellement du souci pour ma sécurité
comme pour la sienne.
Il est le deuxième à me donner la
description d'une soucoupe volante à la base d'Edwards. Tous deux m'ont parlé
du même insigne de sécurité et ont fait également référence au fameux Dreamland. Mais c'est la première fois que j'entendais
mentionner l'existence de plusieurs bases extranéennes
et aussi celle des chasseurs de primes. Je crois, de plus, qu'il y a un lien
significatif à établir entre l'usage des dosimètres et l'incident qui est
survenu aux deux femmes dans le Texas. John Lear prétend que Dreamland est situé à Edwards. Pour ma part, je n'en
connais pas l'emplacement. Cette allusion au "pays des rêves" dans le
choix même du mot Dreamland me rend perplexe parce
que cette désignation ne correspond pas à celles que l'armée à tendance à
utiliser pour nommer ses projets ou les sites de ses opérations. J'aimerais
préciser que mes informateurs m'avaient d'abord signalé que la base extranéenne était située à Dreamland;
mais, par la suite, ils se sont rétractés et ont nié cette information. Il est
tout de même étrange que ce nom revienne constamment sur les lèvres à chaque
fois qu'il est question de la base extranéenne! Par
ailleurs, comment savoir puisque les victimes d'enlèvement invoquent
unanimement la défaillance de leur mémoire?
En définitive, les réponses du
vétéran de l'armée ne m'auront personnellement apporté que de nouvelles
questions.., encore plus troublantes !
Le type de
dosimètre qu'on utilisait du temps où je servais dans la Marine consistait en
une pellicule photographique insérée dans un insigne que les membres du
personnel devaient épingler à leur chemise lorsqu'ils travaillaient dans des
zones où ils risquaient d'être exposés à des radiations nucléaires. En raison
de sa photosensibilité, la pellicule réagissait aux radiations et, selon son
degré d'exposition, il était possible d'évaluer la dose exacte de radioactivité
à laquelle chaque membre avait pu être exposé. Au Commandement aérostratégique,
je portais un tel dispositif parce que les aéronefs d'alerte étaient équipés en
permanence d’armes nucléaires. Nos dosimètres étaient vérifiés une fois par
semaine. S'ils indiquaient une exposition aux radiations, il nous fallait alors
nous soumettre à un processus de décontamination. Pour ma part, cette mesure
n'a jamais été nécessaire pendant toute la durée de mon service.
Milton William Cooper :
"Plusieurs sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de
ce document. J’avais tout d’abord écrit ce document comme résultat de
recherche. Il a été pour la première fois rendu public au Symposium du M.U.F.O.N. ,
le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La
plupart de ces renseignements viennent directement, ou sont des résultats de
ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC
que j’ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de
briefing des services de renseignement du Commandeur en Chef de la Flotte
Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations proviennent de sources
que je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes, et quelques autres
de sources publiées desquelles je ne peux répondre, ce document doit être
formulé comme une hypothèse. Je crois sincèrement que si les aliénigènes sont réels, ceci est un document décrivant la
véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui a pu relier les
différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à toutes les questions
et replace les divers mystères les plus importants dans un contexte qui leur
donne un sens. C’est la seule explication qui montre les chronologies des
événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont assemblées,
s’emboîtent parfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je le
crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans la
Marine sont authentiques. Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il
en est, et c’est pourquoi il doit être formulé en terme hypothétique. La
plupart des preuves disponibles actuellement et des preuves historiques sont
en accord avec cette hypothèse" |
Sources
"Le
gouvernement Secret de William Cooper"
Louise Courteau
Editrice