ERIC JULIEN Révélations: Partie 1
OFFICE MEMORANDUM
Eric Julien,
cadre d'aéroport, ancien pilote de biréacteurs, ancien contrôleur aérien
militaire, titulaire d'un Diplôme d'Etudes Supérieures Spécialisées (bac+5) en
Sciences Economiques de l'innovation technologique, titulaire d'un certificat
" Airport Senior Manager " (directeur
d'aéroport) de l'Ecole Nationale de l'Aviation Civile, ancien animateur
(spécialisé en simulation spatiale) au Space Camp de
Patrick Baudry (astronaute), vol sur Mirage F1B.
REVELATIONS
SCIENTIFIQUES D'UN CONTACT
" LA
RENCONTRE DU 5° TYPE ! "
Les médias sont
saturés de nouvelles plus dramatiques les unes que les autres. Pourtant, au
même moment, se prépare une autre humanité, vraiment différente : plus
authentique, plus libre, plus évoluée.
Ce que vous allez
lire dans cet article pourrait n'être qu'un simple alignement de mots comme
vous avez l'habitude de les voir se déverser par trillions sur la planète
chaque jour. Un peu plus d'encre, un peu plus d'arbres coupés, un peu plus
d'insipide quotidien. Cependant, à la fin de votre lecture, vous allez
peut-être changer votre façon de voir le monde, et votre place dans celui-ci.
Vous allez vous mettre à respirer et regarder ce qui vous entoure avec une
acuité bien plus claire...car bientôt...
vous serez
délivrés d'une croyance ancestrale !
GENESE DE L'ARTICLE
Il ne me
serait pas venu en tête d'écrire cet article si une série de circonstances ne
m'avaient poussé à le faire.
M'étant
mis au vert sur l'île de la Réunion pour m'occuper de mes enfants et, "
accessoirement ", pour écrire deux romans, j'ai commencé à naviguer sur le
net pour m'informer des avancées en matière d'ovnis. Ce thème n'est pas sans
rapport avec mes romans alors presque achevés.
Je me suis
intéressé aux travaux de l'association CASAR
http://perso.wanadoo.fr/casar/ dont le président, Francis Gatti, fait montre
d'une audace trop rare dans notre société. Bien que le personnage soit de
nature impulsive dans ses écrits, et fustige nombre de dignitaires de ses coups
de griffes, il n'en soulève pas moins des questions scientifiques de la plus
haute importance pour le futur.
J'aime en
lui l'impertinent sans complexe qui se bat pour que vienne la lumière dans les
ténèbres de l'incrédulité bornée. Le " cuir " se durcit toujours au
contact de la méprise hautaine de certains. Ceci m'a donc conduit à
correspondre avec lui sur les expériences que vous allez lire. Je salue donc sa
ténacité. Il me fallait, ici, aller bien au-delà des quelques indications par
trop évasives que je lui ai fournies. J'ai médité. J'ai parcouru ensuite tous
les sites français traitant des ovnis, y compris ceux des septiques (Zététiciens, Septiques du Canada, etc.) Cette procédure me
permit d'y voir assez clair sur " l'état de l'art " et garder l'esprit
libre.
Je me suis
intéressé ensuite à l'association OVNI SCIENCE, chez qui j'ai de nouveau écrit
quelques lignes, presque sibyllines. Pourquoi ? La démarche ouverte et
tolérante me plut infiniment. Jean-Jacques Yvars,
président de l'association OVNI SCIENCE, m'a aussitôt répondu, se demandant
s'il ne fallait pas diffuser mes " expériences " et " idées
" au plus grand nombre possible de personnes. Son enthousiasme fut
contagieux et j'acceptai donc sa proposition de publier ce texte dans ce numéro
de TOP SECRET. Je respecte profondément la vigueur et la passion lorsqu'elles
sont, comme chez Jean-Jacques Yvars, servies par
l'esprit de courtoisie. Depuis, j'ai adhéré à l'association OVNI SCIENCE pour
apporter ma modeste contribution.
Avant de vous
proposer la lecture de cet article, je vous préciserai quatre points :
1/ Je n'ai jamais
fait d'études en physique fondamentale.
Aussi, me
pardonnera-t-on certaines maladresses de langage. Mais ce que vous allez lire
démontre que les concepts évoqués ne viennent pas de moi. Ceux qui les
comprendront, armés d'outils mathématiques conceptuels, pourraient prétendre à
la reconnaissance de leurs pairs. Certains mettent une vie entière à parvenir à
de telles connaissances avant d'aboutir à la consécration.
2/ J'ai volontairement
éclipsé quelques " détails " qui auraient alourdi le texte.
L'article se veut
aussi grand public que possible. Donc nulle équation au détour d'un paragraphe.
Du reste, à chacun son rôle. J'insiste pour dire qu'un développement plus
poussé aurait eu un effet contraire au but recherché car ce n'est que le
commencement de " l'histoire ".
3/ Je suis prêt à
expliquer autant de fois que nécessaire.
Je le dis ici, de
façon claire, je n'accepterai jamais d'argent en contrepartie d'informations,
ni ne créerai une quelconque organisation visant à rentabiliser quoique ce soit
en relation avec ces renseignements. En revanche, je participerai à toute forme
d'action de communication dont le but est d'expliquer le plus simplement
possible le nouveau paradigme scientifique.
4/ Je fais le vœu
que le plus grand nombre de personnes reprennent à leur compte cette
découverte...si elle n'est pas pervertie.
Il m'importe peu
qu'un nom ou un autre soit mis en avant. L'histoire est truffée d'erreurs de
mémoire. Ma satisfaction vient de valeurs hors du temps humain. Je n'attends
pas de satisfecit mais serait reconnaissant envers ceux et celles pour qui le
plus important est que les choses avancent. Que ce soit demain, après-demain ou
dans un siècle, le " temps " importe peu.
INTELLIGENCE
REPORT
LA PLUS
GRANDE DECOUVERTE...DE TOUS LES " TEMPS " !
Par Eric JULIEN
Membre du Groupe
OVNI Science
http://ovni.science.free.fr/
Cet article lance
un défi majeur au monde scientifique !
Pas seulement aux
scientifiques français, mais aux savants du monde entier.
Pourquoi ne
prend-t-on pas les ovnis au sérieux ? Parce qu'il n'y a pas de théorie
sérieuse...jusqu'à présent !
Je précise que je
ne suis pas spécialement " accro " aux phénomènes OVNI, bien que, par
la force des choses, j'ai été amené à m'y intéresser
il y a plusieurs années de cela. Mon domaine d'étude est plutôt de natures
spirituelle, philosophique et psychologique, passion que je vis assidûment
depuis l'âge de 17 ans. J'ai eu l'occasion de faire des " rêves " d'une
grande réalité, notamment la rencontre d'entités " hautement évoluées
". Cette affirmation n'est point l'expression de mon ego, sachant combien
ce dernier est capable de pièges.
Le témoignage qui
suit a seulement pour but de " faire avancer " les nouveaux paradigmes
que l'humanité a nécessité de découvrir, et surtout d'amener ceux qui font de
telles expériences personnelles (y compris d'ordre psychique) à reconnaître
qu'elles sont très répandues mais aussi très incomprises.
En matière
d'ovni, il existe d'un côté les témoins que l'on suppose ignares et, de
l'autre, une armée d'ufologues, plus ou moins sérieux, plus ou moins rigoureux.
Parmi ceux-là quelques scientifiques. Souvent, ce sont les seconds qui
expliquent aux premiers ce qu'ils ont vu : on brandit ici et là un mode de
propulsion très " branché " : la MHD ! Ou
l'EHD !
Quelles que
soient les théories avancées, et surtout à cause d'elles, en particulier la MHD (" simple " moyen de propulsion
atmosphérique) si médiatisée, elles sont le facteur même qui font baisser les
bras des scientifiques car elles sont invalidantes.
Pour résumer,
ceux qui, au prétexte de faire avancer la " cause ovni " imaginent
les moyens de transport les plus sophistiqués, apportent eux-mêmes la "
preuve " d'une vaste mystification.
Cet état de fait
est si vrai, que d'autres scientifiques parlent d'ovnis psychiques pour trouver
un moyen terme entre rigueur scientifique et statistiques d'observations,
mélangeant au passage des conceptions (et des créatures) très éloignées les
unes des autres. Dans ce galimatias d'hypothèses, comment pourriez-vous y
trouver votre compte ?
Nous pourrions, à
l'envi, brasser dans le détail les techniques d'information sur le sujet, et
évoquer tous ceux qui s'expriment à son propos, il n'en reste pas moins vrai
que nous sommes loin, très loin de la réalité. Je dis ici que la " marque
" de la lorgnette ne change rien au fait que nous en utilisons une.
Une vision plus
globale doit donc s'imposer !
Rencontre
du 5ème Type : le renseignement technique !
Types de
rencontre ovni.
A quoi ressemble
un contact du cinquième type ? Un message télépathique clair au-delà du barrage
des langues et des codes morphologiques, générant une certitude indestructible
et un élargissement de la conscience bien au-delà de l'humain, entraînant
l'apparition de certaines facultés de vision et de compréhension. Ce type de
contact est " courant " mais souvent " refusé " par ceux à
qui cela arrive. Ce qui le rend, par conséquent, très rare. Pourtant, beaucoup
savent et gardent le silence.
Brisons ce
silence et entrons dans l'expérience.
*******************
Rencontre
du ´ Cinquième type : le renseignement technique !
J’étais pilote d’aviation d’affaires (vers 1990) dans la
compagnie Miriadair basée à Cannes, Nice, Paris et
Barcelone. Après une mission (je ne me souviens plus de la destination), je
faisais une sieste dans la maison que nous habitions à Sophia-Antipolis (entre
Cannes et Nice). Cette observation est en fait un rêve éveillé très surprenant.
J’étais en compagnie de créatures non humaines que je ne pouvais
distinguer. L’un d’eux m’a montré un plan de machine ´ volante ª,
d’une clarté inouïe à l’instant du rêve. Je comprenais comme un éclair de génie
comment elle fonctionnait. Après le rêve, je ne pus garder que des brides
d’informations, comme si je ne devais conserver de cela, qu’une piste
d’investigation. Voilà donc la description dont je me souviens :
·
Vaisseau aplati.
·
Deux étages.
·
L’étage de dessous
constituait le ´ moteur ª à proprement parlé.
·
L’étage de dessus était
l’habitacle au centre duquel un énorme cristal rayonnait puissamment. Il était
relié au ´ moteur ª.
·
Fait exclusivement de
matériaux supraconducteurs, le moteur était constitué d’une très grande chambre
de vide dans laquelle un disque tournait à une vitesse vertigineuse produisant
ainsi une énergie à la fois électrique, magnétique, anti-gravitationnelle et
temporelle. Ce dont je me souviens est que la circonférence de ce disque
(plusieurs mètres de diamètre) était proche (au-dessus ou en-dessous ?)
de la vitesse-lumière.
·
Le sentiment que j’ai alors
éprouvé (pendant le rêve) était curieux : ´ bien sûr, c’est simple et
efficace ª. Aucune peur, aucun doute, aucune surprise.
Plusieurs
années plus tard, j’ai tenté d’en parler à un éminent professeur de physique
fondamentale à Paris (dont j’ai oublié le nom) que j’avais invité à déjeuner.
Il m’a d’abord aimablement souri avant de s’emporter dans une sourde colère,
disant que je lui faisais perdre son temps. Avec le recul du temps, je
comprends que c’est lui qui en fit perdre à l’humanité. Aucun matériau, a-t-il
affirmé, ne pouvait conserver la moindre cohésion atomique du fait de la force
centrifuge alors libérée, ce que je comprenais aisément. Depuis lors, j’ai été
refroidi et n’en ai jamais reparlé…jusqu’à aujourd’hui.
********************
Comme vous, je me
suis demandé pourquoi les E.T. ne se seraient-ils pas
montrés physiquement pour une visite guidée en " bonne et due forme "
?
Après réflexion,
la réponse est simple : outre les difficultés insurmontables de langage, la
barrière psychologique humaine (surprise démesurée) empêche la transmission de
l'information brute.
Je désigne donc
ici, par rencontre du " cinquième type ", la communication avec des
êtres non-humains dont le but fut, à mon égard, de
léguer des renseignements techniques dont j'ai été le hasardeux dépositaire.
Partageons la reconstitution schématique la plus fidèle que je puisse en faire.
Rêve ovni vue d'ensemble. TIFF
Voici des
indications transmises par les entités :
- Le temps est
discontinu (non linéaire).
- Il est un
" sous-état " de la matière.
- Les vaisseaux
peuvent venir du " FUTUR " comme du " PASSE ".
- Ils pilotent le
cristal soit " mécaniquement ", soit " psychiquement "
(apparition possible d'interférences humaines dans ce dernier cas).
" Quelque
chose " tourne dans le tore à très grande vitesse (vitesse apparemment
variable), induisant l'illusion d'une rotation mécanique vue de l'extérieur.
Le pilote du
vaisseau manipule deux commandes :
a. Une fréquence
(méga-onde du CRISTAL)
b. Une "
trajectoire énergétique "
Le tore donne la
cohérence temporelle. Le cristal donne la cohérence ondulatoire (mise en œuvre
des harmoniques) à l'ensemble des particules inscrites dans le champ produit
par le tore et dans les limites physiques de la cellule.
L'apparition du
champ de force variable autour du vaisseau précède localement le vaisseau
(sorte de projection de l'espace-temps).
Le disque en
rotation est extrêmement léger.
La rotation
initiale du disque est fournie par le tore. Le disque restitue ensuite son
énergie au tore une fois un certain seuil de vitesse dépassé.
Pour comprendre
les principes mis en œuvre pour traverser les grands espaces, il faut se
pencher sur la notion de vide, commune à l'infiniment petit et l'infiniment
grand. " Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ". Le
vide est la clé dans la " mutation " de l'état de la matière, et donc
de sa " localisation ".
TRES IMPORTANT : le niveau
vibratoire (conscience) du pilote et des occupants est primordial (risque de décorporation accidentelle).
A l'aune de ce
" contact ", voici ce que je postule (merci de bien vouloir attacher
vos ceintures):
- Les ovnis
maîtrisent les technologies du temps et de l'antigravitation.
- Les ovnis, dits
psychiques, sont de la même nature que les ovnis matériels mais dans un état
différent.
- Le phénomène
ovni est d'origine extraterrestre.
- Il existe de
nombreuses races extraterrestres.
- Parmi ces
races, peu sont venues nous visiter.
- Parmi ces
dernières, certaines ont un but lumineux et altruiste, d'autres non.
- Une menace
extraterrestre pèse sur les hommes quand ils auront maîtrisé le temps.
- Cette menace
est liée à notre comportement belliqueux.
- La fraternité
des hommes devra devenir internationale.
- Cette menace
sera amoindrie par une collaboration avec les entités bienveillantes.
Ces affirmations,
par trop brutales, doivent être soigneusement analysées. A la longue, elles vous
paraîtront banales car elles sont d'une logique implacable. Ce qui ressort de
manière fondamentale est que l'homme est maître de son destin ! Nous ne sommes
ni manipulés, ni guidés (pas au sens traditionnel) mais informés !
La différence est
colossale !
Aussi longs que
pourraient être mes propos pour donner un sens à ces expériences, je
n'empêcherai pas la vindicte de sécréter son insidieuse ironie. Vous savez,
l'ironie, ce morceau de chair en haut à gauche après la troisième
circonvolution cérébrale. Nous sommes si fiers de notre cerveau...sans
connaître son fonctionnement ! (voir encadré sur le cerveau).
Pour garder la
tête froide, je me souviendrai que la Terre n'est ronde que depuis quelques
siècles.
Je laisse le soin
à votre sagacité de réfléchir un instant à ceci : notre cerveau enregistre 24
images par seconde. Que verrions-nous s'il était capable d'en accepter 240, ou
24 millions dans le même temps ? Les témoins ne décrivent-ils pas des E.T. avec de grands yeux ? Et nous-mêmes, n'avons-nous que
deux yeux ? Et si le troisième œil existait, n'aurait-il pas une capacité de
perception psychique variable en fonction des individus, comme les yeux
physiques qu'il faut parfois corriger ?
********************
La
délocalisation de la conscience.
Le débat
sur le fonctionnement du cerveau pourrait franchir un nouveau cap dans une
expérience simple. Cette expérience a déjà été réalisée mais reste
interdite…trop d’implications.
1.
Comptez le nombre de neurones
d’un cerveau, quel qu’il soit.
2.
Comptez le nombre de liens
(synapses) qui pourraient exister entre neurones.
3.
Armez-vous de la vitesse de
transmission des informations entre neurones (environ 330 m/s).
4.
Faites tourner un
calculateur. Il vous donnera le nombre d’informations par seconde que le
cerveau pourra fournir au maximum, donc bien au-delà des meilleurs d’entre
nous.
5.
Mettez un groupe de personnes
face à un choc traumatique extrêmement court leur laissant croire qu’ils sont
morts.
6.
Réveillez-les (en douceur) et
demandez-leur ce qu’ils ont vu.
7.
Notez tous les détails.
8.
Comparez avec la capacité
maximale du cerveau…
9.
Méditez sur le résultat
stupéfiant d’un rapport de 61 000 fois plus d’informations.
10) Mettez
votre microscope au rencard si vous cherchez l’esprit humain.
******************
Deux mots sur la
science
Il existe deux
façons d'avoir accès à la connaissance. En passant par le " bas ", la
recherche scientifique, ET en passant par le " haut ", la
connaissance " révélée ". On appelle généralement cette dernière
l'intuition ou l'inspiration. En réalité, la connaissance révélée recouvre des
conditions particulières de perception. Je vois d'ici les sourires de ceux pour
qui les escaliers ne peuvent que monter...et non pas
descendre. A ceux-là, je ne répondrai qu'une seule chose : la route existait
avant eux et existera après qu'ils auront " disparus ".
Il existe deux
sciences ! Celle de vos magazines spécialisés, version grand public, (le
deuxième cercle) et celle des militaires (le premier cercle). Pourquoi
iriez-vous croire que les scientifiques inféodés aux cartels
militaro-industriels sont des communicants ?
Ayant étudié les
modèles de l'innovation technologique, j'ai acquis une certitude :
contrairement à nos réflexes de " géotrouvetou
" occasionnel, plus une technologie est évoluée, plus elle est secrète.
Les brevets
d'invention ont deux buts : donner l'apparence de l'activité d'une entreprise
(vis-à-vis des services secrets) et interdire l'accès à ces technologies ! Vous
ne comprenez pas ?
Un brevet est un
droit...de rétention avant d'être un droit de fabrication. Inutile, ici, de
décrire les logiques de découpage des contenus de ces brevets brouillant les
pistes à loisir, ni les pièges de la brevetabilité. Mais le plus important est
que la plupart des inventions, et parmi elles les plus grandes, ne sont jamais
déposées ! Pourquoi ?
D'une part, pour
ne pas éveiller les soupçons, et, d'autre part, pour permettre un retour sur
investissements des technologies déjà mises sur le marché (investissements de
plus en plus lourds pour des marchés à l'échelle mondiale), et, enfin, pour
acquérir une avance (recherche et développement) si considérable sur les
concurrents (entreprises, nations) que s'il advenait qu'un challenger dépose un
brevet sensible (entreprise) ou montre un nouveau niveau technologique (nation),
une pléthore de technologies révolutionnaires se déverseraient pour éteindre
toute velléité (étudiez bien l'histoire).
Du reste, qui n'a
pas remarqué que les industriels, champions du marketing, en " rajoutaient
des couches " intermédiaires, donnant l'illusion du progrès (flagrant en
informatique où le taux de remplacement des matériels est proche de 100% tous
les deux ans).
Un consensus
implicite est né. C'est ainsi que nous avons atteint un paradoxe : les nations
s'observent pendant que les technologies dorment ! Pour protéger qui ?
Naïfs sont ceux
qui croient qu'une découverte entraîne automatiquement sa mise à disposition.
(Ndlr : sauf dans certains cas curieusement. Ainsi une
dépêche nous apprenait le 08/04/02 : " La food and
drug administration a annoncé que les puces
électroniques implantables ne tombent pas sous le coup de leur réglementation :
la commercialisation de ces "biochips" peut
donc commencer dès aujourd'hui aux États-Unis.
puce.jpg
Cette décision a
fait la joie des dirigeants d'Applied Digital
Solutions puisqu'elle signifie qu'ils pourront se passer des tests très sévères
de la FDA. Ces derniers repoussent parfois de
plusieurs années l'arrivée de nouveaux produits. La firme américaine a
immédiatement annoncé que ses VeriChip seraient commercialisées
dans trois mois ")
Vous vous demandez qui détient ces technologies du troisième
millénaire. N'est-ce pas un peu fantaisiste ? Etudiez l'histoire des
technologies et les coïncidences géopolitiques, vous comprendrez par
vous-mêmes.
N'interrogez pas
les savants télévisés. Ils n'en possèdent, pour la plupart, pas la clé. La
rétention d'informations...conduit à des déséquilibres. Voyez l'écart
grandissant des pays.
N'y a-t-il pas,
par article interposé, volonté de la part " d'exo-observateurs
" de rétablir l'équilibre...? Ne savent-ils pas que toutes les revues sont
passées au peigne fin par des hommes de l'ombre dont le métier est précisément
la veille technique ?
La question de
fond est donc de savoir quel est notre retard, ce que les membres du rapport COMETA, bien qu'ils se fourvoient sur bien des points (?),
soulignent avec élégance.
Mais revenons au
" présent "
Un phénomène
étrange s'est produit le 7 mars 2002 (un jeudi soir) assez tard (23h30) dans la
maison que nous habitions sur l'île de la Réunion. Tandis que je dormais, mon
épouse a entendu un bruit intense suivi aussitôt des aboiements des chiens du
quartier (zone de campagne très calme). Ce bruit ressemble de très près à celui
qu'elle avait entendu lors de son expérience ovni près de Gap (voir encadré des
observations) : comme un fil de fer qui tournoie très rapidement avec des
bruits saccadés, tels des claquements. Le son était si grand qu'elle songea
immédiatement à un hélicoptère qui allait s'écraser sur nous. Toutefois, le
" volume " du bruit était tel qu'il dépassait de très loin en taille
les pales d'un hélicoptère. Elle s'attendait donc à un choc terrible, mais
celui-ci ne vint pas. Le son a rapidement disparu. Elle est allée regarder par
la fenêtre mais aucun voisin ne manifesta le moindre mouvement. Puis les
aboiements prirent fin.
Subséquemment,
les visions que j'avais eues en 1990 ont repris leur intensité en compréhension
sans que des images elles-mêmes ne s'imposent. A ce propos, ne me faites pas
dire ce que je ne dis pas : je ne suis pas " victime " d'un
enlèvement par des extraterrestres ! En tout cas, tel n'est pas mon vécu. Non
que j'exclue la réalité de ces manifestations parfaitement explicables, mais je
n'ai pas eu le sentiment, à aucun moment, qu'une chose
se produisait contre mon gré.
De nouvelles
informations me sont parvenues dont l'une d'elles va bouleverser notre vision
du monde ET les équations des physiciens. Elle donne une cohérence prodigieuse
à tous les phénomènes ovnis ET paranormaux (veuillez serrer un peu plus votre
ceinture) :
L'unité de temps
se dilate ou se contracte !
Les univers
parallèles ne sont pas autre chose qu'un défilement de temps différent.
Le temps est une
énigme ! Il nous paraît linéaire. Le passé précède le présent...qui précède le
futur. Comment alors des gens peuvent-ils percevoir le futur ?
N'est-ce pas là
pour la science une " méchante " difficulté que d'expliquer ce
phénomène ? Et ce ne sont pas les exemples qui manquent. En vérité, tous les
jours sur Terre des êtres humains perçoivent le futur dans des rêves
prémonitoires ou des " flashs ". La question est autrement plus
complexe et éminente que n'importe quel réglage de centrale atomique ou
manipulation génétique. Je répète la question à ceux qui ne l'auraient pas
entendue :
comment le futur
peut-il précéder le présent ?
La Caverne de
Platon vous connaissez ? Et si le temps n'était que l'ombre de ce qu'il semble
être ?
Qu'est-ce que le
temps tel que nous ne le connaissons ?
Il existe deux
types de temps : le temps mesurable et le temps psychologique.
Le temps
mesurable est objectif !
C'est une
convention universelle ! C'est-à-dire un intervalle entre deux "
phénomènes " : avant/après. En science, nous employons la seconde. Elle
possède ses multiples et ses subdivisions. Ce temps existe ! Il est très utile
pour organiser quantité de choses et d'équations.
Le temps
psychologique est subjectif !
Parfois, telle
expérience nous paraîtra avoir duré une minute dans des circonstances
déterminées, telle autre dix, etc. Or, le temps mesuré déterminera par
convention le temps moyen et fixera dans notre conscience les proportions
admissibles. 80% de notre vie sont étalonnés sur le temps psychologique.
Curieusement, nous sommes capables de nous réveiller à 6 heures piles si nous
faisons l'effort de le vouloir. Cette " coïncidence " est désignée
par le terme " d'horloge interne ". Personne ne l'a jamais vue mais
c'est admis, mettant, au passage, un peu plus d'eau à notre moulin. Le temps
psychologique est dit subjectif car il semble imaginaire !
J'ajouterai que
certains cycles et la chronobiologie sont à l'intersection des deux et donnent
corps à ce qui va suivre.
Examinons les dix
questions fondamentales de la physique.
Les dix questions
de la physique.
Sur ces dix
questions, cinq, au moins, sont directement liées à la question du temps. Il
serait fastidieux, ici, de les reprendre une à une pour les tamiser et en
déduire une réponse adaptée. L'une d'elles, la plus importante et la plus
explicite, induit une réponse tronquée d'avance : " POURQUOI l'univers
a-t-il une dimension temporelle et trois d'espace ? "
La question n'est
pas : " Y a-t-il une seule dimension du temps ? "
Pourtant elle est
essentielle. Voici ce que dit Roland Lehouc
(astrophysicien au Service d'astrophysique du CEA) : " Nous percevons le
temps comme unidimensionnel, parce que nos pensées semblent se succéder les
unes après les autres dans un ordre bien défini. Cet argument est subjectif. Le
temps pourrait paraître unidimensionnel sans l'être réellement, un peu comme
nous perdons la vision en relief en fermant un œil : nous sommes alors entourés
d'objets plats et, seule l'habitude permet d'apprécier encore les distances.
"
Plus loin encore
: " Avec trois dimensions de temps et une dimension d'espace, seuls les
tachyons, des particules qui vont plus vite que la lumière, existeraient.
"
Puis : " De
nombreux aspects de la physique seraient assez différents avec un temps qui
n'est pas unidimensionnel. Par exemple, l'énergie ne serait plus un nombre,
mais un vecteur indiquant la direction temporelle du déplacement, au même titre
que la quantité de mouvement d'un mobile est un vecteur indiquant dans quelle
direction spatiale il se déplace. Comme la quantité de mouvement se conserve
lorsque le mobile n'est soumis à aucune force, la direction temporelle suivie
serait aussi une constante du mouvement. En d'autres termes, si deux
observateurs se déplaçant selon des directions temporelles différentes se
rencontrent, ils se sépareront inéluctablement pour suivre leur trajectoire
temporelle respective, incapable de rester ensemble. Du point de vue d'un
observateur, l'autre apparaîtrait et disparaîtrait aussitôt... " (NDA :
comme le font les ovnis.)
Puis encore :
" Autre conséquence importante de la multidimensionnalité
temporelle : certaines particules ne seraient plus stables. Dans un monde comme
le nôtre, une particule ne peut se désintégrer que si la somme des masses au
repos (la masse lorsque la particule est immobile) des particules produites est inférieure à la masse au repos de la particule initiale.
Cette condition, qui confère leur stabilité au proton et à l'électron,
disparaît dans un monde à plus d'une dimension temporelle. Par exemple, un
proton pourrait se désintégrer en un neutron, un positon et un neutrino ; un
électron pourrait se transformer en un neutron, un antiproton et un neutrino.
La matière que nous connaissons ne serait plus stable. "
(NDA : c'est
exactement la vision des états de la matière que j'ai eue (voir encadré "
états de la matière ")).
Il y a fort à
parier que les cinq autres questions fondamentales, pour lesquelles le temps
n'est pas sous-jacent, soient tout de même fortement influencées par la "
théorie " du temps à trois dimensions expliquée maintenant.
LES TROIS
DIMENSIONS DU TEMPS.
L'espace, c'est
bien connu, a trois dimensions : longueur, largeur et hauteur. Ce qui l'est
moins est que le temps aussi.
Le temps a trois
dimensions : le sens, la densité et le présent !
Les trois
dimensions du temps.
Le sens (S-Time)
Il désigne ce que
tout le monde conçoit : la trajectoire qui va du passé au futur. Ce que d'aucun
appelle la quatrième dimension. Il n'y a pas grand chose à en dire si ce n'est
que le passé forme notre mémoire et notre imagination le futur. La
transformation apparente de la matière et des événements
décrit le sens apparent du temps.
MOT-CLE : TRANSFORMATION.
La densité
(D-Time)
Voilà le
rendez-vous tant attendu avec les prochaines grandes découvertes de la science
fondamentale. Qu'est-ce que la densité du temps ? C'est un écoulement du temps
qui influence l'état de la matière, et dont la perception dilate ou contracte
l'unité de temps admise par convention.
MOT-CLE : VITESSE (de
transformation).
La densité du
temps.
Le présent
(P-Time)
Contrairement à
une idée répandue, le présent ne va pas de soi car à chaque instant le temps,
que vous comptiez en nanosecondes ou pas, devient passé immédiat après avoir
été futur immédiat. Le présent est hors du temps classique. Il est en relation
avec le sens et la densité de temps sans en avoir la même dimension. Le présent
est intangible, incréé et ne dépend ni du passé ni du futur ! Nous
développerons ce concept lors d'une prochaine contribution.
MOT-CLE : PERMANENCE (qui ne se
transforme pas).
Revenons au
deuxième terme.
Pour comprendre
la densité du temps, prenons une image simple et opportune : le sablier !
L'écoulement du
sable dépend du goulot d'étranglement d'où vous voyez tomber le sable (voir
schéma). Eh bien, la convention " seconde " est le diamètre de ce
goulot ! Si l'on considère chaque grain de sable comme une seconde, le diamètre
du goulot sera de la taille d'un grain. Mais il se trouve qu'au-dessus du
goulot, le sablier s'évase. Graduons le sablier en millimètres-densité
de temps. Plus vous montez, plus il s'évase et plus il y a de grains de sable à
chaque graduation. La densité du temps est équivalente de la hauteur du sablier
! Elle est une vitesse d'écoulement du sable. Ou encore, un diamètre de goulot.
Hauteur, vitesse,
diamètre. Vous comprenez ici la complexité du problème. Car tout est problème
de relation. Je dirais que la densité du temps est une quantité de temps
relative selon la convention employée. Mais dans l'exemple du sablier, toutes
les densités s'écoulent en même temps !
Le
sablier.
Pour faire court,
nous pourrions dire qu'une densité supérieure à la convention " seconde
" serait une fraction de celle-ci pendant laquelle se produiraient autant
de choses (actions).
Cette
compréhension du problème de fraction me paraît simpliste car elle réduit la
densité du temps à un problème d'échelle et reviendrait à une arithmétique
bornée. Or, ce n'est pas tout à fait le cas.
Considérons les
règnes de la vie que nous connaissons aujourd'hui : le minéral, le végétal,
l'animal et l'humain. Il faut ici faire l'effort de s'extraire de sa condition
d'observateur.
La vitesse (la
densité) de transformation (le sens) de chacun des règnes est radicalement
différente (toutes conditions étant identiques). De
notre point de vue, les modifications des végétaux sont bien plus rapides que
celles des minéraux, et il en va de même des animaux par rapport aux végétaux.
De même, l'humain se transforme bien plus vite que les animaux (notion de
conscience de soi). C'est cette vitesse de transformation relative qui fonde la
densité du temps.
Une vraie seconde
du règne minéral, dans sa réalité, correspondra à une heure du temps végétal,
dans sa réalité, qui représentera un mois du temps animal, dans sa réalité, et
une année pour nous, observateur humain, dans notre réalité. Ces
correspondances quantitatives n'ont, bien sûr, d'intérêt que pour les besoins
de la démonstration et ne reflètent en aucune manière les proportions
effectives.
Gageons,
d'ailleurs, qu'au sein de chacun des règnes la densité varie entre
sous-espèces, et même entre familles. On pourrait appeler cela le " temps
discret " (nombre entier de valeurs), ou encore le " temps fractal
" (reproduction à l'identique d'un objet mais de valeurs croissantes ou
décroissantes). Pour mémoire, une fonction discrète s'oppose à une fonction
continue en ce sens qu'elle n'est pas linéaire mais possède des paliers. Pour
saisir cette notion de densité, il suffit d'imaginer un film en accéléré de
l'éclosion d'une fleur et nous aurons une meilleure perception de ce qu'elle
vit pour elle-même.
Ce que l'on peut
concevoir de ces règnes vaut exactement de même pour les densités supérieures
de temps. Ceci étant dit, une remarque s'impose : la description de ces
différences de densité va de pair avec la " matérialité " de la
matière, donc de sa densité.
En d'autres
termes, plus il y a de densité temporelle moins il y a de densité matérielle
MAIS PLUS DE GRAVITATION. Pour faire un clin d'œil à la célèbre formule qui
vaut pour la gravitation et la charge électrique, deux forces que nous savons
mesurer sans en connaître la nature, la densité de temps est inversement
proportionnelle au carré de la densité matérielle. Attention ! une confusion
doit être élaguée : pour nous, la densité de la matière est en relation directe
avec les forces nucléaires et non avec la gravitation. Ce paradoxe vient du
point de vue relativiste que nous adoptons.
C'est en cela que
nous affirmons que le temps est un sous-état de la
matière. Il ne serait pas étonnant qu'un jour prochain nous découvrions que
temps, " masse " et énergie aient une relation intime à laquelle nous
ne nous attendions pas.
Notons au passage
que la Mécanique Quantique (pour quantités, ou quanta) " se limite
exclusivement à l'étude des phénomènes mesurables. A l'inverse des théories
classiques, elle ne décrit pas ce qui se passe entre les mesures ".
Que savons-nous
de la Mécanique Quantique ? Que l'observateur fait partie intégrante de la
théorie !
La Mécanique
Relativiste, quant à elle, s'intéresse justement aux relations entre grandeurs
pour expliquer le fonctionnement de l'univers (notamment la gravitation) dont
Einstein a compris qu'elles dépendaient du système de référence. Dans sa
célèbre équation, M est en réalité l'inertie !
Que savons-nous
de la Mécanique Relativiste ? Que les champs de gravité sont des distorsions de
l'espace-temps aux alentours des masses importantes (considérées alors comme statiques).
Le rapprochement
entre Mécanique Quantique et Mécanique Relativiste, les deux voies de la
physique fondamentale, est difficile...mais la notion de gravitation quantique
(intersection des deux ?) montre le bout de son nez.
Il me faut ici
faire une remarque capitale : la mécanique newtonienne (inscrite dans notre
subconscient) nous habitue à considérer la gravitation comme liée à des masses
statiques (les corps s'attirent en raison inverse du carré de leur distance).
Or, la gravitation est le fait d'un mouvement.
Les ovnis et les
phénomènes paranormaux sont à l'intersection de la Mécanique Quantique et de la
Mécanique Relativiste.
Le point central
de cet article est la densité du temps. Toutes les autres grandeurs sont
réputées ici (par convention) relatives à cette nouvelle notion.
Armé de ces
précautions oratoires, je postule ceci :
La densité du
temps varie comme la gravitation. Plus la D-Time est
élevée plus la gravitation l'est aussi (MR).
La gravitation
varie à l'inverse des forces nucléaires. Plus la gravitation augmente plus la
densité matérielle diminue (MR+MQ).
La D-Time varie à l'inverse de l'espace. Plus le temps se
dilate (D-Time) plus l'espace se contracte (MR).
La D-Time varie comme " l'ondulisation
" de la matière. Plus le temps se dilate plus les corps se transforment en
ondes (MR+MQ).
La masse est
traduite par la gravitation : bien que la masse semble supérieure pour
l'observateur lorsqu'elle est en mouvement, elle n'existe pas en elle-même (MQ). Elle s'exprime par l'inertie.
Les corps
atomiques sont une somme de relations structurelles : ils n'existent pas en
eux-mêmes. Sorte de mécanique relativiste à l'échelle subatomique (MQ).
La vitesse de la
lumière n'est pas une constante : elle dépend de la D-Time
car sa nature varie comme la D-Time (MR).
La lumière
transporte une quantité de relations structurelles (idées) : la " pensée
" est diffusée par la lumière (MQ=MR). Des
phénomènes psychiques ont lieu.
Pour illustrer
ces propos, il est recommandé de méditer sur la théorie des triangles inversés
ci-dessous.
Théorie des
triangles inversés 1.
La relation entre
MR et MQ, c'est-à-dire, pour être réducteur, entre
infiniment grand (trajectoires " linéaires ") et infiniment petit
(trajectoires " circulaires "), trouve sa solution dans le mouvement
de rotation extrêmement rapide d'un solide, tel un disque de quelques mètres de
diamètre, produisant une gravité locale sortant en partie du référentiel,
induisant des effets MQ, eux mêmes engendrant des
effets MR pour le déplacement d'un vaisseau interstellaire qui contiendrait le
disque.
Pour être plus
clair, la rotation d'un disque à très haute vitesse équivaut à un champ de
gravité égal ou supérieur à celui de la Terre. L'antigravitation n'est, en
fait, qu'un abus de langage. Les ovnis produisent localement une gravitation
autonome et s'en servent pour se déplacer.
ERIC JULIEN_révélations: Partie 2
Théorie des
triangles inversés 2.
Il est probable
que ces allégations ressemblent pour vous à du charabia. Elles sont, à mon
sens, indispensables pour ceux qui tenteront de traduire " l'hypothèse D-Time " dans leurs connaissances les plus abouties de
ce début de millénaire. La physique inertielle (référentiel sans accélération)
de Newton a 300 ans ! La relativité d'Einstein a presque 100 ans ! La mécanique
quantique des Planck, de Broglie, Schrödinger ou Heisenberg a près de 60 ans.
Aujourd'hui, le monde s'ouvre sur une nouvelle ère...LA DENSITE DU TEMPS !
Une question se
pose : quelle est l'unité de la D-Time ? Une
viscosité temporelle ?
Cette notion de
viscosité attribuée au temps me paraît la plus " tangible ", si je
puis dire. Elle souligne l'idée de fluidité, voire de super-fluidité
du temps. L'inconvénient de ce terme est qu'il semble s'opposer à celui de
densité qui, lorsqu'elle augmente, suggère " un liquide plus pâteux "
alors que c'est le contraire. Le temps fractal est également une bonne vision
proposée par Francis Gatti, président de Casar. Je
m'en tiendrai à la densité du temps qui se rapproche de l'idée de contraction
de l'espace qui lui est covariante...en attendant que des esprits plus éclairés
la baptisent selon les sacrements de la science.
Mais la question
principale revient à savoir comment l'on peut prévoir le futur d'un règne.
Réponse : en l'observant d'un règne supérieur ou état de plus grande densité temporelle
! Ainsi, ceux qui perçoivent des évènements humains à venir le font dans une
densité de temps différente de la nôtre. Pourquoi ? Parce qu'au passage d'une
densité temporelle vers une autre, les informations sont transmises à une
" vitesse " supérieure ! Un peu comme l'objet dépassant le mur du son
le précède dans sa trajectoire. L'événement t+1 du goulot d'étranglement du
sablier arrive à t-3 dans une densité du temps très supérieure. C'est pour cela
que la densité du temps n'est pas qu'un simple fractionnement de la convention
" seconde ". Les extraterrestres savent d'avance à qui ils
apparaîtront et peuvent, par conséquent, choisir les témoins (rappelons-nous
que l'énergie serait comme un vecteur temps dans un univers à trois dimensions
temporelles agissant comme le vecteur " quantité de mouvement " dans
l'espace).
Pour se
représenter la prémonition, imaginons-nous en haut d'une colline. Nous
observons deux véhicules en contre-bas venant en sens
opposé sur la même route. Les conducteurs de ces véhicules ignorent qu'ils vont
se croiser à un endroit où la chaussée est rétrécie.
Sur notre nid
d'aigle, nous le savons ! Nous pouvons même " filmer " en accéléré ce
qui va se produire et connaître les conditions de l'accident qui aura lieu.
On rétorquera
qu'il faut bien attendre que l'événement ait lieu pour déclarer qu'il y a eu
prémonition. Notons au passage que le seul travail des scientifiques est bien
de décrire ce qui va avoir lieu ! Ils ne peuvent en être certains que lorsque
cela a effectivement eu lieu mais ils savent d'avance ce qu'il adviendra !
Comme les médiums ! C'est cet " infime "
écart entre prémonition et fait qui laisse la place au libre
arbitre...quantique.
Qu'est-ce qui
fait qu'il a lieu ou non ? La liberté ! Plus une créature a de degrés de
liberté, a fortiori celle du temps, moins elle est contrainte. Il est probable
qu'il ne vous a pas échappé que la prédictibilité des phénomènes minéraux était
supérieure à celle des végétaux, dépassant de très loin celle relatives aux
humains. Je vous laisse le soin de méditer sur ce qui suit cet "
emballement ".
Qu'il me soit
permis une digression opportune ! La méthode scientifique se fonde sur la
reproductibilité d'un phénomène, d'abord par l'expérience, puis par la
modélisation des causes génératrices. Ainsi naissent les équations grâce
auxquelles on décrit l'univers. Mais toujours, l'expérience précède le modèle
(sauf en mathématique pure). Lorsqu'une équation est proposée officiellement
c'est qu'elle a été passée au crible de l'observation afin de ne pas être
démentie. L'équation ne décrit pas la réalité, elle décrit ce qui est
admissible.
Ainsi Newton
a-t-il précédé Einstein sans que ce dernier n'enlève rien
au premier mais
le situe dans un contexte relatif. C'est bien ce qui est proposé ici. La
densité du temps relativise l'ensemble des équations !
Mais que se
passe-t-il au regard des degrés de liberté croissants ? Doit-on en rester à la
" reproductibilité " du fait scientifique, celle qu'a secrété la
philosophie des lumières du 17ème siècle ? Ne sommes-nous pas au 21ème siècle ?
N'avons-nous pas compris que degrés de liberté croissants et reproductibilité
sont incompatibles ?
Le facteur "
t " (pour temps) est souvent représenté dans un repère orthonormé par l'un
des axes d'une fonction. La vitesse, puis l'accélération sont décrites avec la
même unité de temps, la seconde. Or, celui qui mesure décrète ce qu'est l'unité
de temps puisqu'il est observateur. Ainsi fait-on varier la distance (et la
vitesse de transformation de celle-ci) et non le temps pour les quantifier.
Mais un nouveau paradigme surgit pour étudier la mécanique et ses effets
relativistes. Pour faire un saut quantique (sans mauvais jeu de mots), il est
nécessaire d'introduire la notion de densité de temps et faire muter cette sacro-sainte
linéarité en valeurs discontinues dès lors que nous nous enfonçons dans la
matière pour tenter d'en comprendre la nature. Le bilan énergétique en sera
lourdement affecté (voir encadré).
La dualité
corpusculaire/ondulatoire de la matière est au cœur même de ce nouveau
paradigme.
Le dilemme du
bilan énergétique.
Lorsqu'un ovni
s'envole, il nous apparaît en accélération prodigieuse. Mais c'est une
apparence ! Quelle que soit la constitution physique des occupants de ces
machines, ils ne pourraient pas subir sans dommages ces accélérations
foudroyantes. Ce n'est donc pas la " variable espace " qu'il faut
étudier mais la " variable temps ". Exemple : si l'accélération d'un
objet nous paraît être de 100m/s2, elle est en
réalité, pour ses occupants, de 10m/s2 parce que leurs secondes changent de
densité. En d'autres termes, la première de leur seconde sera la même que la
nôtre, puis la suivante dilatera pour devenir une de nos minutes, et ainsi de
suite pour, en fait, n'accélérer que très peu. Mais l'illusion que nous en
aurons sera une prodigieuse accélération...jusqu'à leur disparition dans une
autre densité de temps, les rendant ainsi invisibles à nos yeux COMME NOUS LE
SOMMES POUR LES PLANTES EN PASSANT DEVANT SANS S'ARRETER.
La densité du
temps explique donc le phénomène ovni, comme les phénomènes paranormaux (voir
encadrés). Cet article n'ayant pas l'ambition d'un almageste d'apothicaire, je
laisserai le soin aux spécialistes de réaliser tous les rapprochements
nécessaires. J'en oublierais probablement trop. Quelques pistes suffisent.
La densité du
temps explique les ovnis.
La densité du
temps explique le paranormal.
Pour les règnes
" inférieurs ", nous ne sommes qu'un mouvement furtif. Pour les
plantes, nous n'existons pas...à moins d'être un jardinier. Il nous faut donc
apprendre à percevoir nos jardiniers. Nous l'aurons compris, pour ces derniers,
traverser les grands espaces intergalactiques ne posent aucun problème
puisqu'en faisant varier la densité de temps suffisamment, ils parcourent la
distance qu'ils désirent en quelques-unes de leurs nouvelles secondes. Et cela
leur est d'autant plus aisé que l'espace se contracte en même " temps
" ! (Que les conventions de langage sont liberticides !)
Revenons aux
phénomènes inexpliqués en s'armant de la méthode scientifique fondamentale :
l'observation. Il faut toujours garder en mémoire que ceux qui tentent de faire
entrer le phénomène ovni dans le champ de la science sont confrontés à une
lourde difficulté : ils ne sont pas observateurs eux-mêmes.
Les scientifiques
ne peuvent s'en tenir qu'à des témoignages dont le niveau de compréhension du
phénomène est extrêmement variable. Or, nous savons depuis Heisenberg que
" l'objet observé dépend de l'observateur ". Donc, il leur reste à
réduire les observations à des constantes, des similitudes. Ils n'ont pas
vraiment le choix mais cette méthode est, du point de vue épistémologique, non-scientifique, puisque approximative (argument valable
pour les deux " camps ", pro et contre). C'est justement ce que fait
la physique fondamentale : réduire les faits aux constantes d'observation,
contraintes dans un écart-type, c'est-à-dire aux moyennes statistiques d'un
état (pardonnez-moi de ne pas entrer dans le détail).
Les constantes de
ces phénomènes dits PAN D, comme paranormaux, sont connues : rapidité,
vibrations, matérialité inconstante. Qu'il s'agisse de cas d'ovni ou de poltergeist (situations de matérialité les plus probantes),
il semble bien que la densité de temps soit en cause.
Mais comment se
figurer que la matière puisse traverser le temps ? Et surtout comment
fonctionnent les ovnis ?
Entrons dans le
vaisseau, maintenant que son " environnement " est mieux cerné.
Cette vision du
temps me vient donc de rêves éveillés. Dans le premier, fait en 1990, trois
entités que je ne pouvais distinguer me montrèrent le schéma technique d'un
vaisseau interstellaire (j'ai évacué le contenu de l'habitacle).
Un rotor central
tournait dans une chambre de vide à une vitesse proche de la vitesse-lumière (en dessous ou au-dessus ?).
Rêve ovni moteur
Peut-être ce
rotor était-il en accélération constante. Dans le tore qui ceignait le
vaisseau, " quelque chose " tournait en boucle fermée à une vitesse
démesurée. Enfin, un cristal placé au centre, et au-dessus du rotor auquel il
était lié, brillait intensément. L'ensemble de ces technologies était "
unifié " par un réseau supraconducteur complexe. Un champ de force
entourait le vaisseau dont les couleurs et l'énergie variaient selon deux
paramètres : la vitesse de rotation et la densité de temps.
La plupart des
apparitions ovni sont construites sur une variation de leur densité de temps
(fantomatiques jusqu'à très matérielles).
Fiche technique
d'un ovni.
Comment expliquer
la dématérialisation ou la matérialisation d'objets ? Si le temps est un sous-état de la matière, c'est donc bien la densité de
temps qui déterminera sa constitution. Celle-ci vient de sa dualité
corpusculaire/ondulatoire.
Dans le premier
terme, " corpusculaire ", il faut considérer deux facteurs :
l'énergie d'équivalence et la masse CAR l'observation microscopique nous
interdit aujourd'hui d'affirmer la présence effective de la matière en tant que
telle. Les corps (protons, électrons, quarks, gluons et j'en passe) n'ont,
curieusement, aucune réalité physique absolue. Ils sont un modèle de
compréhension des échanges et des transformations.
Seules la masse
(inertie) et l'énergie peuvent être mesurées. Or, la masse n'a d'existence
propre qu'à travers l'accélération qu'elle peut traduire, c'est-à-dire la
gravitation !
Nous n'observons
en fait que des échanges dont nous tirons des grandeurs ! On appelle cela des
équations.
La gravitation
est donc au cœur du problème !
Outre les forces
d'attraction nucléaires (faible et forte) et électromagnétique qui constituent
précisément les modalités d'échanges, la gravitation, dont l'une des variables
est le temps (masse/accélération, donc masse par une variation de vitesse),
fonde la matière telle que nous la connaissons dans notre densité de temps.
Nous savons qu'un
objet en rotation très rapide, en accélération, génère un champ de force infini
(Wheeler) dont l'une des conséquences est justement un phénomène local de
gravitation. Mais pour imprimer une telle rotation à un solide, les forces de
cohésion que sont les forces nucléaires forte et faible ne résisteraient pas
pour maintenir la matière dans un état corpusculaire, c'est-à-dire matériel.
Selon certains le disque exploserait. La difficulté, en fait, est double :
d'abord l'obtention de la vitesse de rotation nécessaire (contrer les forces
d'inertie, ce n'est pas la moindre) par la production, puis la libération d'une
énergie colossale, et, par ailleurs, le maintien de la cohésion atomique.
La seule solution
consiste à contourner le problème en transformant l'état corpusculaire en état
ondulatoire. On nous répond qu'ils sont indissociables en arguant qu'ils sont
deux aspects d'une même chose. Comment en être sûr sans en faire l'expérience ?
On nous dit d'un côté qu'il nous est impossible de conserver la cohésion
atomique d'un solide en rotation à très grande vitesse, et, d'un autre, qu'on
ne peut pas obtenir ladite vitesse de rotation compte tenu de nos moyens. Voilà
une démonstration un peu " légère ".
Où est donc la
solution ? Une explosion ? Intuitivement, je répondrais la foudre ! Des
millions de volts pour mettre en mouvement circulaire des particules dans un
tore. Mais peut-être est-ce un peu naïf. Au centre géométrique du tore, plaçons
un disque, déjà en mouvement rotatif, en équilibre dans une chambre à vide (pas
de frottement), et un maillage supraconducteur (stator ?) entre le tore (rotor
non solide ?) et le rotor proprement dit. Soit dit en passant, l'une des vertus
électromagnétiques des supraconducteurs est l'effet Meissner permettant de
contrer la gravitation. Accélérons le rotor jusqu'à une vitesse proche de celle
de la lumière. Que se passe-t-il ? Réponse : un changement du continuum
espace-temps ! C'est-à-dire, à la lumière de la nouvelle densité de temps, une
modification de la matière et donc de son inertie. Nous supposons ici qu'une
rupture de densité temporelle a lieu localement, maîtrisée par le cristal !
Le dernier rêve
éveillé (07/03/02), précédé de la perception d'un " supposé " ovni
par mon épouse, s'est accompagné d'une autre information liée à quatre états de
la matière : état stable (matière connue, notre réalité), état instable
(augmentation vibratoire), état luminescent (état de pseudo-transparence,
mais visible), et, enfin, état invisible. Ces états m'étaient présentés sous la
forme de quatre échantillons de même forme placés sur
une sorte de palette de peinture pour artiste (voir encadré).
La "
mutation " peut avoir lieu lentement, mais le plus souvent très
rapidement. Ce qui a attiré mon attention dans cette perception est le passage
de l'état luminescent à l'état invisible. Il avait lieu grâce à l'émission d'un
son très particulier, sorte de fréquence de rupture.
Vision des états
de la matière.
Voici une
information de la plus haute importance pour le monde de l'ufologie (chercheurs
du phénomène ovni) : les ovnis peuvent avoir au même " moment " les
quatre états au sein de l'engin, expliquant ainsi les changements apparents de
leur forme.
Nous sommes en
pleine science-fiction, n'est-ce pas ? C'est ce que je m'acharne à croire.
Pourtant la vivacité des images, mais surtout l'état de compréhension dans
lequel j'étais plongé, ressemblait à s'y méprendre à une
plus-que-réalité.
Le disque en
rotation que j'ai perçu avait une légèreté extrême. Or, aujourd'hui l'industrie
découvre des matériaux à la fois résistants et légers (ex. : le titane que l'on
trouve en grande proportion dans la nature, contrairement à une idée autrefois
répandue).
L'énergie du tore
semble avoir été produit grâce à l'énergie du vide. De là à considérer que ces
engins ont été construits dans l'espace, il n'y a qu'un pas. Par ailleurs, les
supraconducteurs devaient transmettre l'énergie électromagnétique dans des
conditions de température proche du zéro absolu (plus grande efficacité). Là
aussi, une fois protégé des émissions " solaires ", l'espace "
glacial " fournit un modèle ad hoc. Ainsi donc, faudra-t-il attendre le
développement de l'industrie spatiale pour mettre en application ce que
d'autres civilisations ont déjà mis au point. Mais un travail considérable de
modélisation sera nécessaire. Beaucoup l'auront compris. Le temps est la clé !
La science ne pourra pas longtemps l'ignorer, d'autant que la densité du temps
pourrait expliquer bien des mystères.
La densité du
temps explique les mystères scientifiques.
A ceux qui
prétendent que lesdites civilisations ont une avance
prodigieuse sur nous parce qu'elles ont peut-être des millions d'années de
développement (que nous n'avons pas), et, par voie de conséquence, que nous ne
les rejoindrons jamais, j'ajouterai que la réponse est dans la question. Les
millions d'années dont on parle ici n'ont aucune importance à l'aune de la
variation de densité de temps. Ainsi, cette " avance " pourrait être
balayée en quelques années de recherche. On appelle cela le bond technologique
après qu'un gap se soit agrandi. L'industrie de la téléphonie mobile a, par
exemple, dans les pays en voie de développement, remis ces derniers au niveau
des nations développées. Pour vous rendre compte du rapprochement saisissant
entre cette rencontre du cinquième type et les progrès de la science, je vous
invite à lire (pour ceux qui sont équipés d'une connexion internet) sur le site
d'UFOCOM, fort estimable, les textes suivants :
1) Compendium
d'articles traitant de la recherche officielle sur l'antigravité.
2) Résultat
préliminaires de la session d'étude sur les nouvelles perspectives de la
physique de propulsion.
Un changement de
paradigme scientifique ! Nous y sommes ! N'y a-t-il pas là matière, pour des
extraterrestres, si ce n'est à s'inquiéter, mais à tout le moins de vérifier
les compétences terrestres ? Voire même notre niveau psychique ou spirituel ?
Est-ce pour cela
que nous sommes si souvent visités, et particulièrement depuis ces cinquante
dernières années ? Depuis la découverte de la mécanique relativiste et de la
mécanique quantique ? Depuis l'énergie nucléaire ? L'homme est en train de
préparer, sans le savoir encore, un bond technologique spectaculaire !
STAFF MESSAGE DIVISION
LE GRAND DEFI
Nous avons l’habitude
de lire, voir et entendre des débats stériles entre pro-ovnis
et contradicteurs septiques. Nous donnons l’occasion ici de les mettre
d’accord. En la matière, il n’existe pas de ´ pourquoi pas ª, mais un choix
entre ´ vrai ª ou ´ faux ª ! En science, tant qu’une chose n’est PAS DEMENTIE,
elle est VRAIE !
Je mets au
défi les plus grands scientifiques de la planète de démontrer que cette ´
théorie ª (car il faut bien user des mêmes
vocables) de la densité du temps est fausse. Je suis prêt à offrir un
an de mon salaire à quiconque démontrera que la D-Time
n’existe pas. Il va s’en dire qu’une telle démonstration ne pourrait se
satisfaire d’un simple renvoi aux manuels de physique moderne. Pour prétendre
résoudre la D-Time par la négative, il faudrait d’abord
se demander ce qu’est l’infini, et s’il existe. Comme pour le
´ petit ª et le ´ grand ª de l’espace, qu’est-ce que
l’infiniment long ou l’infiniment court ? Ces ´ quatre ª infinis
ne seraient-il pas le même ´ point ª ? S’ils parviennent à la
réponse, au moins, nous saurons que les septiques sont utiles…pour
l’éternité !
Je prends à
témoin le lecteur, et plus largement l’humanité, pour que cesse définitivement
le scepticisme ambiant, ou au contraire les délires les plus fous.
Seuls ceux
qui seront capables de réfuter de manière absolue la densité du temps auront
droit à la parole. Si vous croisez un scientifique,
ou se présentant ainsi, ou encore un ´ spécialiste ª des phénomènes ovni ou
paranormaux, rappelez-lui qu’il n’a pas le droit de citer à moins qu’il ne
s’inscrive dans cette démarche car tant qu’elle n’est pas démentie, elle est
vraie…et cela change complètement les données du problème !
Si vous entendez
quelqu’un s’exprimer sur les ovnis ou les manifestations paranormales,
demandez-lui d’abord s’il a réalisé cette démonstration contradictoire. Si vous
lisez une revue, regardez une émission télévisée ou entendez une émission de
radio sur ces thèmes, sans que cette conception ne soit décrite, vous perdrez
votre ´ temps ª ! Diffusez largement cette proposition car elle est
très sérieuse pour votre propre avenir !
J’en
appelle ici solennellement aux mécènes et aux sponsors pour offrir très
officiellement une prime substantielle (le jeu n’en vaut-il pas la chandelle ?)
à ceux ou celles qui parviendront à faire la démonstration mathématique et
physique de ces dimensions du temps pour qu’enfin nous nous hissions au rang de
civilisation digne d’intérêt. A supposer que les chercheurs ne soient pas
motivés par une subvention, au moins y aura-t-il là, sans surprise, un prix
Nobel à la clé !
Outre l’intérêt
médiatique planétaire dont ces sponsors pourront bénéficier en terme de
philanthropie, ils apporteront une vraie contribution à l’évolution de l’homme
à l’échelle de son Histoire. Vous commencez certainement à imaginer les
bouleversements philosophiques, religieux, scientifiques et politiques d’une
telle découverte. Les conséquences risquent fort bien d’être
incalculables !
Vous vous dites deux choses :
´ Pour
qui se prend-il ? ª
Réponse : un être
humain si optimiste et certain de son fait (qui ne m’appartient pas) pour qui,
en matière d’ovni, seule l’impertinence peut ouvrir les esprits !
Mais retenez ceci
: ´ En toute chose, pour avancer, ne vous préoccupez pas du messager ni
des conditions de l’information mais du message lui-même ! ª
´ Tout
ça est bien beau, mais qu’est-ce que cela change pour mon
quotidien ? ª
Réponse :
´"TOUT !"
Quelles sont les
conséquences de ces découvertes ?
Avant de songer
aux voyages interstellaires, la technologie ovni fournit une énergie
démesurée et gratuite !
Cette énergie résout
tous les problèmes sociaux en supprimant le travail puisque tout peut être
automatisé sauf les services.
Les êtres humains
pourront donc se tourner vers de vraies relations humaines.
La misère
et la faim disparaîtront.
La
pollution disparaîtra.
Les voyages se
feront par téléportation. Plus d’embouteillages sur les routes et dans
le ciel.
La
communication sera instantanée.
La notion de
l’argent sera radicalement bouleversée puisque les biens seront rapidement
gratuits.
La paix
règnera sur la Terre.
Nous pourrons découvrir
de nouveaux mondes et dépasseront les sondes spatiales bien avant qu’elles
n’atteignent leur destination.
Et vous vous
direz alors qu’il s’agit bien là de la plus grande découverte de tous les ´
temps ª…offerte par des bienfaiteurs encore invisibles !…et, comme vous, je
remercierai ceux des êtres humains qui, au fil des siècles, en particulier ces
dernières années, ont supporté avec dignité l’ostracisme rétrograde…
Merci à vous,
mille fois !
Laissons le
dernier mot à Arthur C. Clark, auteur de 2001, l’odyssée de l’espace : ´
Nous sommes toujours trop optimistes sur la vitesse d’évolution des techniques,
et trop pessimistes pour les grands bonds de la science ª.
Ecrire à l'auteur
: Eric.JULIEN5@wanadoo.fr
Contact radar à 28 000 km /h.
Echo radar à 28 000 km/h, traversant
d’est en ouest mon écran panoramique, au nord de la base 112 (Reims), alors que
j’étais contrôleur aérien militaire. Vitesse déduite par une règle de trois,
sachant que l’antenne SRE tournait en 7,5 secondes
par tour. Altitude inconnue (intervalle compris entre cinq cent et quarante
mille pieds (150 m <x< 13 km)). J’en fus seul
témoin, mes collègues étant soit occupés, soit au mess pour déjeuner. Aucune
anomalie dans le module de détection (dixit le radariste), détection secondaire
(transpondeur) désactivée, écho primaire large et brillant, pas d’écho
erratique, circulation aérienne de faible densité, écho incompatible avec
l’altitude d’un satellite au moins huit à dix fois plus élevée (vitesse des
satellites pourtant sensiblement identique), le lobe de détection d’un radar SRE pour le contrôle local étant trop petit pour une telle
´ coïncidence ª.
J’ajoute qu’à cette époque (1983-84), je préparais le concours
interne à l’Armée de l’Air pour devenir officier (que j’ai ensuite abandonné).
C’eut été très fâcheux de témoigner de cette observation. Bien m’en a pris
puisque, quelque mois plus tard, un collègue fut témoin d’une autre observation
autrement plus spectaculaire, référencée ci-dessous, qui a été simplement
classée. Le phénomène OVNI n’intéresse, d’ailleurs, pas les contrôleurs dans
leur large majorité. Là aussi la raillerie a étendu son empire : un
témoignage peut paraître douteux quand à l’aptitude d’un contrôleur à exercer.
La loi du silence prévaut également dans le milieu des pilotes
militaires. La plupart (trop rare) des observations décrites spontanément sont
le fait, le plus souvent, des pilotes eux-mêmes dans le cadre d’un ´ airmiss ª (quasi-collision) entraînant une procédure
d’enquête (établissement des responsabilités), le facteur de proximité limitant
ainsi largement les occurrences de témoignages. Ce que le public a tendance à
ignorer ou oublier est que tous les vols en altitude (sauf rares exceptions ou
situation de combat aérien engagé pendant laquelle l’attention du pilote est
exclusivement tournée vers ´ l’ennemi ª, ou plastron) sont pilotés
aux instruments et que, de ce fait, les équipages ont ´ le nez dans le
guidon ª (instruments). Quant aux vols basse
altitude (dits
tactiques), grandes vitesses, et à vue, la dispersion d’attention se résume à
un va-et-vient entre l’altimètre, le relief, la carte de navigation et ses
co-équipiers, et, ce, dans un champ de vision souvent limité à 90° (selon le
relief en question).
Le contrôleur miliaire a, par ailleurs, obligation, dans le
cadre d’une procédure stricte, de faire brancher ´ oxygène 100% ª
lorsqu’un doute surgit sur l’intégrité ou les facultés d’un pilote.
L’observation d’un ovni fait partie de ces situations implicites. Aucun pilote
de chasse (milieu très machiste) n’a vocation à se faire ridiculiser sur la
fréquence…ou ailleurs, pour l’avancement par exemple.
Mon collègue contrôleur, lui, a démissionné de l’Armée de l’Air.
Remarque : en matière d’observation météo, le public ignore
que les contrôleurs militaires ´ alimentent ª, de leurs propres
observations, notamment dans la définition et les caractéristiques des nuages,
les bulletins météo que des ´ météorologues ª
adressent aux équipages.
Intrusion
dans une base aérienne française.
Mon collègue Mr J.O., contrôleur aérien militaire depuis une
vingtaine d’année, était en poste à la vigie de la tour de contrôle de Reims
(Base Aérienne 112), un soir d’été (date trop imprécise, vers 1984). Il a été
témoin de l’apparition d’un engin en forme de soucoupe très près du sol
(environ 5 ou 10 mètres) dans l’enceinte même de la base. Il a estimé la taille
de l’engin à dix ou quinze mètres (il faut préciser que les contrôleurs aériens
ont une habitude développée du sens de l’observation, même pour des appareils
très rapide). Celui-ci était stationnaire et a décollé très rapidement. Compte
tenu de l’orientation de la tour de contrôle, l’engin qui lui faisait face
était au nord, flanqué au pied de la petite colline au Nord de la base. Ladite
colline, et non le ciel, était donc en arrière plan. Des lumières rouges et
vertes tournoyantes ceignaient les contours circulaires de l’engin.
L’observation a duré une dizaine de minutes. Mr J.O. a demandé à la salle
d’approche si un écho apparaissait. Malheureusement les échos fixes (obstacles
naturels et artificiels à proximité de l’antenne radar) interdisaient toute
confirmation de l’observation visuelle.
L’observation a été dûment décrite dans un rapport que mon
collègue, d’un naturel rationaliste, a rendu aux autorités militaires. Ces
derniers ont convoqué le GEPAN (aujourd’hui SEPRA) de Toulouse qui s’est déplacé à Reims. L’enquête a
duré
plusieurs jours. Jamais aucun rapport officiel ne lui a jamais
été retourné, ni à ses collègues. Mr J.O. a démissionné quelques mois plus
tard. Je doute fort que Mr J.O. se soit commis dans quelque canular, ne faisant
aucune ´ publicité ª autour de cette observation. Le plus troublant
dans cette affaire est qu’à aucun moment le GEPAN n’a
fait état de cette observation dans ses publications officielles (à ma
connaissance). Est-ce parce
qu’un ovni s’est introduit impunément
sur une base aérienne française ?